Dagboek Kapitein Jean Gilbert (in het Frans), item 2
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beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, les couvertures sont minces et usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je me fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et me dit: "
Vous avez encore 20 minutes pour prendre le rapide pour Boulogne. Je cours jus-
qu'à la gare, je saute dans le train. J'arrive à Boulogne, encore une vielle vil-
le, je me dirige vers la gare maritime où je déjeune frugalement. Ne vais-je
pas avoir le mal de mer? On m'a donné des granules antinausiques. J'en avale
six. En route, le temps est au beau, le vent assez fort. Doucement le bateau file
et Boulogne, dont les maisons occupent le haut et le bas de la falaise, dispa-
rait. Des mats émergent de l'eau. Sans doute un naufrage, plus loin, très loin
un navire a été jeté à la côte, on le voit incliné. Un torpilleur nous escorte.
Le bateau danse. J'employe toute mon énergie pour ne rien sentir du bercement
des vagues. Une ligne noire se montre dans le ciel. C'est la côte anglaise. Fol-
kestone! C'est plus joli que Boulogne. Dommage que le brouillard a fait son
apparition. Coût du voyage 35 frs. aller et retour. Dans le train plus de pla-
ce. Nous allons au wagon restaurant, supplément 2/ -et des. Londres. Il fait noir
Je descends au Wilson Hotel, Victoria Road. J'ai rencontré Lefebvre, un officier
du 7 qui me pilote. A Folkestone j'avais envoyé 3 télégrammes à Lucien. Je vais
diner (souper) Je me mets au lit. On m'éveille.
Je vais loger à l'Uxbridge
Road. Nous blaguons jusque 2hrs. passées.
17 novembre 1916- Il fait beau mais froid. Je suis resté au lit jusque 11hrs.
Tinne ne va pas travailler, elle me tient compagnie. Le soir nous dinons au Mo-
nico. Lucien présente bien en smoking.
18 novembre 1916- Mauvais temps, promenade en train jusqu'à Brompton road, chez
Harrods, un des plus grands, peut-être le plus grand magasin de Londres. Au ciné-
ma. Le soir nous restons à la maison et parlons de choses et autres.
19 novembre 1916- Toujours ce vilain temps: Dimanche, tous les magasins sont
fermés. Lucien ne travaille que jusque 13hrs. Nous faisons un diner de diman-
che et allons voire une tasse de thé au salon. Le soir nous allons au restau-
rant, recommandation de John. Het trok op niets.
20 novembre 1916- Il pleut encore. Malgré tout nous prenons l'autobus et sur l'
impériale nous jouissons de toutes les belles choses qu'offre Londres à la vue
Le soir nous allons au Coliséum: magnifique théatre, grande scène sur plateau
tournant. Il n'y a pas d'intervalle entre les numéros. Spectavle varié. Nous al-
lons diner au schotsch ? restaurant. Tout ce qu'il y a de plus select. En un-
dergrond à la maison.
21 novembre 1916- Il fait beau. Veille de mon départ. Je fais les derniers
achats. Hier a midi j'ai visité l'usine où travaille Lucien. Cela ne manque pas
d'animation. Rencontré au Monico, Léon de Ridder et Charles de Cote.
22 novembre 1916- 3 1/2h. Lucien vient m'éveiller. 4hrs. nous partons et trou-
vons un taxi qui pour 10/- nous conduit au Victoria Station. Nous attendons
1 heure. A 5h30 départ. J'arrive à Folkestone par beau temps. Il fait un peu
froid. La traversée par steamer Victoria s'effectue très bien. J'ai même déjeu-
né sur le bateau. A Boulogne je dine à la Jetée, Restaurant bien achalandé. A
15h03 le train pour Calais, puis sur Dunckerque où nous attend l'auto. Ici il y
a place pour 8. Le bâche est fermée de tous côtés. Nous sommes enfermés dans
une chambre noire. L'auto roule, nous manquons tous d'attraper le mal de mer.
Me voilà à Oostvleteren.
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beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, les couvertures sont minces et usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je me fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et me dit: "
Vous avez encore 20 minutes pour prendre le rapide pour Boulogne. Je cours jus-
qu'à la gare, je saute dans le train. J'arrive à Boulogne, encore une vielle vil-
le, je me dirige vers la gare maritime où je déjeune frugalement. Ne vais-je
pas avoir le mal de mer? On m'a donné des granules antinausiques. J'en avale
six. En route, le temps est au beau, le vent assez fort. Doucement le bateau file
et Boulogne, dont les maisons occupent le haut et le bas de la falaise, dispa-
rait. Des mats émergent de l'eau. Sans doute un naufrage, plus loin, très loin
un navire a été jeté à la côte, on le voit incliné. Un torpilleur nous escorte.
Le bateau danse. J'employe toute mon énergie pour ne rien sentir du bercement
des vagues. Une ligne noire se montre dans le ciel. C'est la côte anglaise. Fol-
kestone! C'est plus joli que Boulogne. Dommage que le brouillard a fait son
apparition. Coût du voyage 35 frs. aller et retour. Dans le train plus de pla-
ce. Nous allons au wagon restaurant, supplément 2/ -et des. Londres. Il fait noir
Je descends au Wilson Hotel, Victoria Road. J'ai rencontré Lefebvre, un officier
du 7 qui me pilote. A Folkestone j'avais envoyé 3 télégrammes à Lucien. Je vais
diner (souper) Je me mets au lit. On m'éveille.
Je vais loger à l'Uxbridge
Road. Nous blaguons jusque 2hrs. passées.
17 novembre 1916- Il fait beau mais froid. Je suis resté au lit jusque 11hrs.
Tinne ne va pas travailler, elle me tient compagnie. Le soir nous dinons au Mo-
nico. Lucien présente bien en smoking.
18 novembre 1916- Mauvais temps, promenade en train jusqu'à Brompton road, chez
Harrods, un des plus grands, peut-être le plus grand magasin de Londres. Au ciné-
ma. Le soir nous restons à la maison et parlons de choses et autres.
19 novembre 1916- Toujours ce vilain temps: Dimanche, tous les magasins sont
fermés. Lucien ne travaille que jusque 13hrs. Nous faisons un diner de diman-
che et allons voire une tasse de thé au salon. Le soir nous allons au restau-
rant, recommandation de John. Het trok op niets.
20 novembre 1916- Il pleut encore. Malgré tout nous prenons l'autobus et sur l'
impériale nous jouissons de toutes les belles choses qu'offre Londres à la vue
Le soir nous allons au Coliséum: magnifique théatre, grande scène sur plateau
tournant. Il n'y a pas d'intervalle entre les numéros. Spectavle varié. Nous al-
lons diner au schotsch ? restaurant. Tout ce qu'il y a de plus select. En un-
dergrond à la maison.
21 novembre 1916- Il fait beau. Veille de mon départ. Je fais les derniers
achats. Hier a midi j'ai visité l'usine où travaille Lucien. Cela ne manque pas
d'animation. Rencontré au Monico, Léon de Ridder et Charles de Cote.
22 novembre 1916- 3 1/2h. Lucien vient m'éveiller. 4hrs. nous partons et trou-
vons un taxi qui pour 10/- nous conduit au Victoria Station. Nous attendons
1 heure. A 5h30 départ. J'arrive à Folkestone par beau temps. Il fait un peu
froid. La traversée par steamer Victoria s'effectue très bien. J'ai même déjeu-
né sur le bateau. A Boulogne je dine à la Jetée, Restaurant bien achalandé. A
15h03 le train pour Calais, puis sur Dunckerque où nous attend l'auto. Ici il y
a place pour 8. Le bâche est fermée de tous côtés. Nous sommes enfermés dans
une chambre noire. L'auto roule, nous manquons tous d'attraper le mal de mer.
Me voilà à Oostvleteren.
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beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je mais fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et me dit: "
Vous avez encore 20 minutes pour prendre le rapide pour Boulogne. Je cours jus
qu'à la gare, je saute dans le train. J'arrive à Boulogne, encore une vielle vil
le, je me dirige vers la gare maritime où je déjeune frugalement. Ne vais-je
pas avoir le mal de mer? On m'a donné granules antinausiques. J'en avale
dix. En route, le temps est au beau, le vent assez fort. Doucement le bateau file
et Boulogne, dont les maisons occupent le haut et le bas de la falaise, dispa-
rait. Des mats émergent de l'eau. Sans doute un naufrage, plus loin, très loin
un navire a été jeté à la côte, on le voit incliné. Un torpilleur nous escorte.
Le bateau danse. J'employe tout mon énergie pour ne rien sentir de bercement
des vagues. Une ligne noire se montre dans le ciel.
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beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je mais fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et me dit: "
Vous avez encore 20 minutes pour prendre le rapide pour Boulogne. Je cours jus
qu'à la gare, je saute dans le train. J'arrive à Boulogne, encore une vielle vil
le, je me dirige vers la gare maritime où je déjeune frugalement. Ne vais-je
pas avoir le mal de mer? On m'a donné granules antinausiques. J'en avale
dix. En route, le temps est au beau, le vent assez fort. Doucement le bateau file
et Boulogne, dont les maisons occupent le haut et le bas de la falaise, dispa-
rait. Des mats émergent de l'eau. Sans doute un naufrage, plus loin, très loin,
-
beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je mais fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et me dit: "
Vous avez encore 20 minutes pour prendre le rapide pour Boulogne. Je cours jus
qu'à la gare, je saute dans le train. J'arrive à Boulogne, encore une vielle vil
le, je me dirige vers la gare maritime où je déjeune frugalement. Ne vais-je
pas avoir le mal de mer? On m'a donné granules antinausiques. J'en avale
dix. En route, le temps est au beau, le vent assez fort. Doucement le bateau file
et Boulogne, dont les maisons occupent le haut et le bas de la falaise, dispa-
rait.
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beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je mais fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et me dit: "
Vous avez encore 20 minutes pour prendre le rapide pour Boulogne. Je cours jus
qu'à la gare, je saute dans le train. J'arrive à Boulogne, encore une vielle vil
le, je me dirige vers la gare maritime où je déjeune frugalement. Ne vais-je
pas avoir le mal de mer? On m'a donné granules antinausiques. J'en avale
dix.
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beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je mais fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et me dit: "
Vous avez encore 20 minutes pour prendre le rapide pour Boulogne. Je cours jus
qu'à la gare, je saute dans le train. J'arrive à Boulogne, encore une vielle vil
le, je me dirige vers la gare maritime où je déjeune frugalement.
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beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je mais fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et me dit: "
Vous avez encore 20 minutes pour prendre le rapide pour Boulogne. Je cours jus
qu'à la gare, je saute dans le train. J'arrive à Boulogne, encore une vielle vil
le, je me dirige vers la gare maritime où je déjeune
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beaucoup de
prisonniers et des camps de concentration.15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève à 3hrs. Je déjeune à 3 1/2h. et en route, à 4hrs.
pour Ooetvleteren. Là attend l'auto qui me conduit à Dunckerke. En train jusque
Calais, je mais fais conduire à la place. L'officier tire sa montre et ke dit: "
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beaucoup de prisonniers et des camps de concentration.
15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916- Je me lève a
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beaucoup de prisonniers et des camps de concentration.
15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916
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beaucoup de prisonniers et des camps de concentration.
15 novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A 11h. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
16 novembre 1916-
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beaucoup de prisonniers et des camps de concentration.
15 Novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A IIh. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
On remettra donc mon congé. A la division sera-t-il accepté? Je suis dans l'
attente. Cette nuit j'ai eu froid, le couvertures sont minces usées. Il gèle
pour le moment 17h. Je l'ai, il est 22hrs.
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beaucoup de prisonniers et des camps de concentration.
15 Novembre 1916- L'aurai-je ou pas? Ce matin, impossible de me donner le congé
A IIh. je vais chez le general. Le porte-drapeau me dit que c'est une erreur.
-
beaucoup de prisonniers et des camps de concentration.
15 Novembre 1916-
Description
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- Contributor
- Coppens Mieke
November 14, 1916 – November 22, 1916
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