FRBDIC- 11 Histoire de Louis Carette, capitaine d'infanterie puis instructeur détaché aux Armées américaines, item 40

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                                                   3.Novembre 1914

                             Mon Cher  Petit Quitton.

     Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

la position etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

criais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

pour lui d'etre dechiqueté.

   Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

plus me Trainer.

  on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

pour quelques jour sur une ambulance d l'arrière

à 20 kilometres de la ligne de feu.

   Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

de nouveau et dans 2 ou 3 jours je pouvais recom

mencer.

   Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

dans le sang des morts et des blessés un avait eu

la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

l'attaque a eté terrible.

   Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus

de 600 hommes mors de combat le 294 idem.

   enfin ce n'est peutètre qu'un tout petit

coin et les battailles sont plus heureuses autre

part.


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                                                   3.Novembre 1914

                             Mon Cher  Petit Quitton.

     Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

la position etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

criais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

pour lui d'etre dechiqueté.

   Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

plus me Trainer.

  on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

pour quelques jour sur une ambulance d l'arrière

à 20 kilometres de la ligne de feu.

   Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

de nouveau et dans 2 ou 3 jours je pouvais recom

mencer.

   Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

dans le sang des morts et des blessés un avait eu

la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

l'attaque a eté terrible.

   Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus

de 600 hommes mors de combat le 294 idem.

   enfin ce n'est peutètre qu'un tout petit

coin et les battailles sont plus heureuses autre

part.



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  • August 10, 2018 18:10:51 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la position etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    criais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    pour quelques jour sur une ambulance d l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dans 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.

       Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

    600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus

    de 600 hommes mors de combat le 294 idem.

       enfin ce n'est peutètre qu'un tout petit

    coin et les battailles sont plus heureuses autre

    part.



  • August 10, 2018 18:04:50 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.

       Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

    600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus

    de 600 hommes mors de combat le 294 idem.

       enfin ce n'est peutètre qu'un tout petit

    coin et les battailles sont plus heureuses autre

    part.



  • August 10, 2018 18:04:30 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.

       Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

    600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus

    de 600 hommes mors de combat le 294 idem.

       enfin ce n'est peutètre qu'un tout petit

    coin et les battailles sont plus heureuses autre

    part.


  • August 10, 2018 18:03:46 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.

       Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

    600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus

    de 600 hommes mors de combat le 294 idem.

       enfin ce n'est peutètre qu'un tout petit


  • August 10, 2018 18:02:56 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.

       Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

    600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus

    de 600 hommes mors de combat le 294 idem.


  • August 10, 2018 18:02:35 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.

       Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

    600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus

    de 600 hommes mors de combat le 294 i dem.


  • August 10, 2018 18:00:53 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.

       Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient

    600 ou 700 il restaient à peine 200.Le 291e a plus


  • August 10, 2018 17:58:56 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.

       Les chasseurs qui étaient à coté de moi etaient


  • August 10, 2018 17:57:57 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste

    l'attaque a eté terrible.


  • August 10, 2018 17:57:15 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait eu

    la tete emporté d'autres je te fais grace du reste


  • August 10, 2018 17:56:00 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 

    dans le sang des morts et des blessés un avait


  • August 10, 2018 17:55:22 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir nous glissions 


  • August 10, 2018 17:55:05 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.

       Ma tranchée était effrayante à voir noui glissions 


  • August 10, 2018 17:53:57 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom

    mencer.


  • August 10, 2018 17:53:46 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne

    de nouveau et dasn 2 ou 3 jours je pouvais recom


  • August 10, 2018 17:52:52 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.

       Je ne pouvais plus uriner enfin tout fouchonne


  • August 10, 2018 17:51:44 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la ligne de feu.


  • August 10, 2018 17:51:37 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière

    à 20 kilometres de la logne de feu.


  • August 10, 2018 17:50:55 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué

    puor quelques jour sur une ambulance ed l'arrière


  • August 10, 2018 17:50:01 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour onm'a evacué


  • August 10, 2018 17:49:28 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin

    et la je suis resté 2 nuits et un jour


  • August 10, 2018 17:48:40 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boursin


  • August 10, 2018 17:48:18 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Trainer.

      on m'a couché sur le matelat de la mère Boussin


  • August 10, 2018 17:47:10 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais

    plus me Traiiner.


  • August 10, 2018 17:46:40 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 

    mitraille aller jusque à l'ambulance je ne pouvais


  • August 10, 2018 17:45:54 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.

       Enfin j'étais degagé et j'ai pu sous les balles et la 


  • August 10, 2018 17:44:40 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté.


  • August 10, 2018 17:44:33 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 

    pour lui d'etre dechiqueté


  • August 10, 2018 17:40:39 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pur que je ne soit touché par l'obus.au risque 


  • August 10, 2018 17:39:53 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

    le sergent Brachelmacher se couchait sur ma tete



  • August 10, 2018 17:39:42 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

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    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

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    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il

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  • August 10, 2018 17:38:11 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

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    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

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    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 

    tenu sous le feu et m'ont degagé à chaque obus il




  • August 10, 2018 17:37:05 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la üosition etait intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

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    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 

    pelles et pioches  pendent un quart d'heure ils les a 




  • August 10, 2018 17:36:19 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été ensevelé

    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

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    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

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    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec 




  • August 10, 2018 17:36:13 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

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    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

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    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement  4 hommes et avec




  • August 10, 2018 17:35:19 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

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    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un




  • August 10, 2018 17:35:08 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous

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    dans ma tranchée par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

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    à 150 metres des boches qui devaient m'entendre.Je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un



  • August 10, 2018 17:33:59 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

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    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais

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  • August 10, 2018 17:32:51 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

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    crais  Vous n'allez abendonner votre lieutenant J'étais



  • August 10, 2018 17:31:47 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

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  • August 10, 2018 17:31:37 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

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  • August 10, 2018 17:30:53 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

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  • August 10, 2018 17:29:45 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

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  • August 10, 2018 17:28:09 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce ,sous


  • August 10, 2018 17:27:20 Bernd Wimmer

                                                       3.Novembre 1914

                                 Mon Cher  Petit Quitton.

         Tu  as recu sans doute ma lettre ou je te racontais


  • August 10, 2018 17:20:50 Bernd Wimmer
  • August 10, 2018 17:18:02 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la position était intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais Vous n'allez pas abendonner votre lieutenant  j'étais

    á 150 metres des boches qui devaient m'entendre .je pleurais

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    sergent ramène courageusement 4 hommes et avec

    pelles et pioches pendant un quart d'heure ils les a

    tenu sous le feu et m'ont degagé a chaque obus il

    le segent  Brachelmacher se couchait sur ma tete

    pour que je  ne sois pas touché par l'obus au risque 

    pour lui d'etre de


  • August 10, 2018 17:16:27 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

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  • August 10, 2018 17:14:22 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

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  • August 10, 2018 17:12:32 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

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    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

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  • August 10, 2018 17:11:35 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

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    crais Vous n'allez pas abendonner votre lieutenant  j'étais

    á 150 metres des boches qui devaient m'entendre .je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

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  • August 10, 2018 17:05:23 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la position était intenable.Mes hommes se sauvaient je

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    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un

    sergent ramène courageusement 4 hommes et avec


  • August 10, 2018 17:03:35 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

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    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

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    á 150 metres des boches qui devaient m'entendre .je pleurais

    bien fort et j'avais bien mal car j'étais écrasé.Enfin un


  • August 10, 2018 17:01:57 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la position était intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais Vous n'allez pas abendonner votre lieutenant  j'étais

    á 150 metres des boches qui devaient m'entendre je pleurais


  • August 10, 2018 17:00:36 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la position était intenable.Mes hommes se sauvaient je

    crais Vous n'allez pas abendonner votre lieutenant  j'étais


  • August 10, 2018 16:59:31 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient

    la position était intenable.Mes hommes se sauvaient je


  • August 10, 2018 16:57:35 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse

    seule ma tète passait et les mamuttes tombaient tombaient


  • August 10, 2018 16:44:43 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli

    dans ma trancheé par 1m 70 de terre.Quelle minute affreuse


  • August 10, 2018 16:43:14 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atroce,sous'ai 

    une pluie infernale de gros obus allemands j'ai été enseveli


  • August 10, 2018 16:41:34 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais

    comment j'avais failli avoir la mort la plus atrice,sous


  • August 10, 2018 16:40:45 Bernd Wimmer

                                                            3.Novembre 1914

                                    Mon cher Petit Guitton.

         Tu as recu snas doute ma lettre ou je te racontais


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    Verdun

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9278 / 111824
Source
http://europeana1914-1918.eu/...
Contributor
M. Bernard GEORGE
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http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/


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