Zeitgenössische Berichte zu Luxemburg im Krieg, item 35
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prussienne et plus encore, Dieu merci, que toutes les autres nations
de l'Europe. Ce sera un jour de joie pour le paysan allemand et
pour l'ouvrier, et pour le marchand, quand la caste militaire sera brisée.
Vous connaissez ses prétentions. Il se donne les airs d'un demidieu.
Quand il passe sur les trottoirs- les civiles et leurs femmes sont
balayés vers la chaussée; ils n'ont pas le droit d'entraver la marche
du grand Junker prussien. Homme, femmes et nations- il faut qu'on les
balaye tous. Il croit qu'il lui suffit de dire:"Nous sommes pressés".
C'est la réponse qu'il a donné à la Belgique. "La rapidité est la grande
supériorité de l'Allemagne" ce qui signifie: Je suis pressé. Ecartez-vous
de mon chemin.
Vous connaissez le type de l'automobiliste, la terreur des routes,
avec sa machine de 60 HP. Il oroit que les routes sont faites pour lui,
et quiconque ralentit la marche de sa voiture, d'un seul kilometre, est
écrasé. Le Junker prussien est le brutal chauffer des routes d'Europe
(Hog (porc) designe en anglais toute personne qui, das une vioture ou
lieu public, s'étale grossièrementsans souci de la liberté et du droit
du prochain.) Les petites nationalités qui se trouvent dans son chemin
sont jetés dans le fassé, saignantes et brisées: les femmes et les enfants
écrasés sous les rous de son impitoyable machine. L'Angleterre
recoit l'order de sortir du chemin. Tout ce que je puis dire est ceci:
Si le vieil esprit britannique vit encore dans les coeurs angalis, le
bravache sera arraché de son siège. S'il triomphait ce serait la plus
grande catastrophie qui aurait frappé la démocratie depuis les jours de
la Sainte-Alliance et de son hégémonie. Ils croient que nous ne pouvons
les battre. Ce ne sera pas facile. Ce sera une longue tâche. Ce sera
une guerre terrible. mais à la find nous marcherons, par la terreur, vers
la victoire. Nous aurons besoin de toutes nos qualités, toutes les qualités
que l'Angleterre et son peuple possedent. La prudence dans la délibération,
l'audace dans l'action, la ténacité dans les résolutions, le
courage dans les défaites, la modération dans les victoires, et en toutes
circonstantes, la foi, et nous vaincrons.
Il leur a plu de croire et de répandre la croyance que nous sommes
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prussienne et plus encore, Dieu merci, que toutes les autres nations
de l'Europe. Ce sera un jour de joie pour le paysan allemand et
pour l'ouvrier, et pour le marchand, quand la caste militaire sera brisée.
Vous connaissez ses prétentions. Il se donne les airs d'un demidieu.
Quand il passe sur les trottoirs- les civiles et leurs femmes sont
balayés vers la chaussée; ils n'ont pas le droit d'entraver la marche
du grand Junker prussien. Homme, femmes et nations- il faut qu'on les
balaye tous. Il croit qu'il lui suffit de dire:"Nous sommes pressés".
C'est la réponse qu'il a donné à la Belgique. "La rapidité est la grande
supériorité de l'Allemagne" ce qui signifie: Je suis pressé. Ecartez-vous
de mon chemin.
Vous connaissez le type de l'automobiliste, la terreur des routes,
avec sa machine de 60 HP. Il oroit que les routes sont faites pour lui,
et quiconque ralentit la marche de sa voiture, d'un seul kilometre, est
écrasé. Le Junker prussien est le brutal chauffer des routes d'Europe
(Hog (porc) designe en anglais toute personne qui, das une vioture ou
lieu public, s'étale grossièrementsans souci de la liberté et du droit
du prochain.) Les petites nationalités qui se trouvent dans son chemin
sont jetés dans le fassé, saignantes et brisées: les femmes et les enfants
écrasés sous les rous de son impitoyable machine. L'Angleterre
recoit l'order de sortir du chemin. Tout ce que je puis dire est ceci:
Si le vieil esprit britannique vit encore dans les coeurs angalis, le
vravache sera arraché de son siège. S'il triomphait ce serait la plus
grande catastrophie qui aurait frappé la démocratie depuis les jours de
la Sainte-Alliance et de son hégémonie. Ils croient que nous ne pouvons
les battre. Ce ne sera pas facile. Ce sera une longue tâche. Ce sera
une guerre terrible. mais à la find nous marcherons, par la terreur, vers
la victoire. Nous aurons besoin de toutes nos qualités, toutes les qualités
que l'Angleterre et son peuple possedent. La prudence dans la délibération,
l'audace dans l'action, la ténacité dans les résolutions, le
courage dans les défaites, la modération dans les victoires, et en toutes
circonstantes, la foi, et nous vaincrons.
Il leur a plu de croire et de répandre la croyance que nous sommes
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prussienne et plus encore, Dieu merci, que toutes les autres nations
de l'Europe. Ce sera un jour de joie pour le paysan allemand et
pour l'ouvrier, et pour le marchand, quand la caste militaire sera brisée.
Vous connaissez ses prétentions. Il se donne les airs d'un demidieu.
Quand il passe sur les trottoirs- les civiles et leurs femmes sont
balayés vers la chaussée; ils n'ont pas le droit d'entraver la marche
du grand Junker prussien. Homme, femmes et nations- il faut qu'on les
balaye tous. Il croit qu'il lui suffit de dire:"Nous sommes pressés".
C'est la réponse qu'il a donné à la Belgique. "La rapidité est la grande
supériorité de l'Allemagne" ce qui signifie: Je suis pressé. Ecartez-vous
de mon chemin.
Vous connaissez le type de l'automobiliste, la terreur des routes,
avec sa machine de 60 HP. Il oroit que les routes sont faites pour lui,
et quiconque ralentit la marche de sa voiture, d'un seul kilometre, est
écrasé. Le Junker prussien est le brutal chauffer des routes d'Europe
(Hog (porc) designe en anglais toute personne qui, das une vioture ou
lieu public, s'étale grossièrementsans souci de la liberté et du droit
du prochain.) Les petites nationalités qui se trouvent dans son chemin
sont jetés dans le fassé, saignantes et brisées: les femmes et les enfants
écrasés sous les rous de son impitoyable machine. L'Angleterre
recoit l'order de sortir du chemin. Tout ce que je puis dire est ceci:
Si le vieil esprit britannique vit encore dans les coeurs angalis, le
vravache sera arraché de son siège. S'il triomphait ce serait la plus
grande catastrophie qui aurait frappé la démocratie depuis les jours de
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de l'Europe. Ce sera un jour de joie pour le paysan allemand et
pour l'ouvrier, et pour le marchand, quand la caste militaire sera brisée.
Vous connaissez ses prétentions. Il se donne les airs d'un demidieu.
Quand il passe sur les trottoirs- les civiles et leurs femmes sont
balayés vers la chaussée; ils n'ont pas le droit d'entraver la marche
du grand Junker prussien. Homme, femmes et nations- il faut qu'on les
balaye tous. Il croit qu'il lui suffit de dire:"Nous sommes pressés".
C'est la réponse qu'il a donné à la Belgique. "La rapidité est la grande
supériorité de l'Allemagne" ce qui signifie: Je suis pressé. Ecartez-vous
de mon chemin.
Vous connaissez le type de l'automobiliste, la terreur des routes,
avec sa machine de 60 HP. Il oroit que les routes sont faites pour lui,
et quiconque ralentit la marche de sa voiture, d'un seul kilometre, est
écrasé. Le Junker prussien est le brutal chauffer des routes d'Europe
(Hog (porc) designe en anglais toute personne qui, das une vioture ou
lieu public, s'étale grossièrementsans souci de la liberté et du droit
du prochain.) Les petites nationalités qui se trouvent dans son chemin
sont jetés dans le fassé,
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de l'Europe. Ce sera un jour de joie pour le paysan allemand et
pour l'ouvrier, et pour le marchand, quand la caste militaire sera brisée.
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Luxemburg
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- 3055 / 40778
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- Aloyse Schartz
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