LE MARIOTTE, item 18

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 Page gauche 

  en éclats, maintenant le commandant semble content, car

il suppose que les Turcs vont couler le bateau, il dit (tirez,

mais tirez donc vous saluez la France)

  Que se passe-t-il reéllement dans la tête du commandant

I. a dû vouloir détruire le bâtiment et nous avec, car tout a

coup après un coup de périscope il annonce à ceux qui l'environment:

Mes amis je vais essayer de vous sauver: Et alors sous

la fusillade le commandant et le timonier montent ouvrir le capot

  La fusillade cesse aussitôt. Le commandant redescend

dans le poste de manoeuvre et donne l'ordre de predre les collets

de sauvetage pour évacuer le bateau, puis de détruire tous les

instruments indicateurs, les documents secrets et même les

billets de banque de la caisse du bord furent déchirés.

  Enfin nous voila presque tous rassemblés au poste central

nous ne pensons encore guère nous sauver, nous pensons toujours

aux mines, pourquoi ne sautent-elles pas, ça serait si

vite fini pourtant. Le commandant au milieu des débris de

toute sorte qui  jouchent  le poste central nous dit "elles  anies  je

comptais vous conduire à la gloire, mais le destin en a voulu

autrement etc... L'émotion l'éteint. Nous crions "Vive le commandant.

Vive la France" et nous commençons à monter

sur le haut. La nous voyons la situation, la  teue est proche

Une chaloupe turque est le long du bord sur l'avant, nous descendons

dedans. En y embarquant beaucoup de nous frappés.

Nous voila donc prisonniers, situation que nous n'avions jamais

envisagés.

  Nous voyons au just la position du bateau

deux mines le  tiement , une repose sur l'arrière du  safrau 

et celle de l'arrière immobilise l'helice.

 

 

 Page droite 

 Nous croyons être fusillés, man non, nous sommes

conduits et enferrées dans une maison dépendant  rinafont 

  Nous aprenons que nous sommes dans les dépendance

du fort de  Tchanak , fort protégeant la petite ville

de  Qaidanelles  (côte Asie-mineure).

  Nous sommes mouilli, à moitié nus. Toute la

matinée, visite d'officiers Turcs et Allemands dont

le général Van der  Gobz . Je suis appelé devant lui

il veut essayer de ne faire pailer, savoir à quelle

heure nous avons plongé, quelle profondeur et un tas

de renseignements, que je me garde bien de lui donner

à la fin il me dit que nous sommes tous des

braves, que c'est beau de faire son devoir jusqu'

au bout et repart avec mes camarades.

  On nous donne un caleçcon d'une largeur

demesinée et une chemise de tout étoile. j'étais débarqué

ayant pour tout vêtements une flanelle et

un pantalon de toile. A midi on nous donne

une boule de pain, même chose le pain K K, pain

très lourd, très indigente, avec de la paille dedans.

  Comme souper haricots verts et courges cuits

à l'huile, rien d'apetisants.

  Le soir à 19 heures un petit vapeur vient

nous prendre et nous conduit un peu plus loin

sur un mouilleur de mines. Nous voyons que la ville

de dardanelles est complêtement détruite par le

feu des bateaux de guerre; devant la maison où

nous étions un obus de  380 du cuirassé 

Anglais "Queen Hélisabeth" était explosé. Pendant le trajet

nous aprenons que le "Mariotte" est coulé, nous sommes

très heureux de cette nouvelle, c'est brai que nous nous en

 dutions  bien un  peur .  Le matin lorsque nous avons évacués le

bord un aviateur allié nous survolait danquel but?

Mardi 27 Juillet

  A Minuit nous faisons route sur Constantinople.

Nous traversons la mer de Marmara, mais dans quelles

conditions différentes. L"E.15 sous-marin Anglais y

 vogue . Si il nous aperoit il va nous torpiller, il ne  man .

 

 

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 Page gauche 

  en éclats, maintenant le commandant semble content, car

il suppose que les Turcs vont couler le bateau, il dit (tirez,

mais tirez donc vous saluez la France)

  Que se passe-t-il reéllement dans la tête du commandant

I. a dû vouloir détruire le bâtiment et nous avec, car tout a

coup après un coup de périscope il annonce à ceux qui l'environment:

Mes amis je vais essayer de vous sauver: Et alors sous

la fusillade le commandant et le timonier montent ouvrir le capot

  La fusillade cesse aussitôt. Le commandant redescend

dans le poste de manoeuvre et donne l'ordre de predre les collets

de sauvetage pour évacuer le bateau, puis de détruire tous les

instruments indicateurs, les documents secrets et même les

billets de banque de la caisse du bord furent déchirés.

  Enfin nous voila presque tous rassemblés au poste central

nous ne pensons encore guère nous sauver, nous pensons toujours

aux mines, pourquoi ne sautent-elles pas, ça serait si

vite fini pourtant. Le commandant au milieu des débris de

toute sorte qui  jouchent  le poste central nous dit "elles  anies  je

comptais vous conduire à la gloire, mais le destin en a voulu

autrement etc... L'émotion l'éteint. Nous crions "Vive le commandant.

Vive la France" et nous commençons à monter

sur le haut. La nous voyons la situation, la  teue est proche

Une chaloupe turque est le long du bord sur l'avant, nous descendons

dedans. En y embarquant beaucoup de nous frappés.

Nous voila donc prisonniers, situation que nous n'avions jamais

envisagés.

  Nous voyons au just la position du bateau

deux mines le  tiement , une repose sur l'arrière du  safrau 

et celle de l'arrière immobilise l'helice.

 

 

 Page droite 

 Nous croyons être fusillés, man non, nous sommes

conduits et enferrées dans une maison dépendant  rinafont 

  Nous aprenons que nous sommes dans les dépendance

du fort de  Tchanak , fort protégeant la petite ville

de  Qaidanelles  (côte Asie-mineure).

  Nous sommes mouilli, à moitié nus. Toute la

matinée, visite d'officiers Turcs et Allemands dont

le général Van der  Gobz . Je suis appelé devant lui

il veut essayer de ne faire pailer, savoir à quelle

heure nous avons plongé, quelle profondeur et un tas

de renseignements, que je me garde bien de lui donner

à la fin il me dit que nous sommes tous des

braves, que c'est beau de faire son devoir jusqu'

au bout et repart avec mes camarades.

  On nous donne un caleçcon d'une largeur

demesinée et une chemise de tout étoile. j'étais débarqué

ayant pour tout vêtements une flanelle et

un pantalon de toile. A midi on nous donne

une boule de pain, même chose le pain K K, pain

très lourd, très indigente, avec de la paille dedans.

  Comme souper haricots verts et courges cuits

à l'huile, rien d'apetisants.

  Le soir à 19 heures un petit vapeur vient

nous prendre et nous conduit un peu plus loin

sur un mouilleur de mines. Nous voyons que la ville

de dardanelles est complêtement détruite par le

feu des bateaux de guerre; devant la maison où

nous étions un obus de  380 du cuirassé 

Anglais "Queen Hélisabeth" était explosé. Pendant le trajet

nous aprenons que le "Mariotte" est coulé, nous sommes

très heureux de cette nouvelle, c'est brai que nous nous en

 dutions  bien un  peur .  Le matin lorsque nous avons évacués le

bord un aviateur allié nous survolait danquel but?

Mardi 27 Juillet

  A Minuit nous faisons route sur Constantinople.

Nous traversons la mer de Marmara, mais dans quelles

conditions différentes. L"E.15 sous-marin Anglais y

 vogue . Si il nous aperoit il va nous torpiller, il ne  man .

 

 


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  • November 2, 2017 02:16:32 Thomas A. Lingner

     Page gauche 

      en éclats, maintenant le commandant semble content, car

    il suppose que les Turcs vont couler le bateau, il dit (tirez,

    mais tirez donc vous saluez la France)

      Que se passe-t-il reéllement dans la tête du commandant

    I. a dû vouloir détruire le bâtiment et nous avec, car tout a

    coup après un coup de périscope il annonce à ceux qui l'environment:

    Mes amis je vais essayer de vous sauver: Et alors sous

    la fusillade le commandant et le timonier montent ouvrir le capot

      La fusillade cesse aussitôt. Le commandant redescend

    dans le poste de manoeuvre et donne l'ordre de predre les collets

    de sauvetage pour évacuer le bateau, puis de détruire tous les

    instruments indicateurs, les documents secrets et même les

    billets de banque de la caisse du bord furent déchirés.

      Enfin nous voila presque tous rassemblés au poste central

    nous ne pensons encore guère nous sauver, nous pensons toujours

    aux mines, pourquoi ne sautent-elles pas, ça serait si

    vite fini pourtant. Le commandant au milieu des débris de

    toute sorte qui  jouchent  le poste central nous dit "elles  anies  je

    comptais vous conduire à la gloire, mais le destin en a voulu

    autrement etc... L'émotion l'éteint. Nous crions "Vive le commandant.

    Vive la France" et nous commençons à monter

    sur le haut. La nous voyons la situation, la  teue est proche

    Une chaloupe turque est le long du bord sur l'avant, nous descendons

    dedans. En y embarquant beaucoup de nous frappés.

    Nous voila donc prisonniers, situation que nous n'avions jamais

    envisagés.

      Nous voyons au just la position du bateau

    deux mines le  tiement , une repose sur l'arrière du  safrau 

    et celle de l'arrière immobilise l'helice.

     

     

     Page droite 

     Nous croyons être fusillés, man non, nous sommes

    conduits et enferrées dans une maison dépendant  rinafont 

      Nous aprenons que nous sommes dans les dépendance

    du fort de  Tchanak , fort protégeant la petite ville

    de  Qaidanelles  (côte Asie-mineure).

      Nous sommes mouilli, à moitié nus. Toute la

    matinée, visite d'officiers Turcs et Allemands dont

    le général Van der  Gobz . Je suis appelé devant lui

    il veut essayer de ne faire pailer, savoir à quelle

    heure nous avons plongé, quelle profondeur et un tas

    de renseignements, que je me garde bien de lui donner

    à la fin il me dit que nous sommes tous des

    braves, que c'est beau de faire son devoir jusqu'

    au bout et repart avec mes camarades.

      On nous donne un caleçcon d'une largeur

    demesinée et une chemise de tout étoile. j'étais débarqué

    ayant pour tout vêtements une flanelle et

    un pantalon de toile. A midi on nous donne

    une boule de pain, même chose le pain K K, pain

    très lourd, très indigente, avec de la paille dedans.

      Comme souper haricots verts et courges cuits

    à l'huile, rien d'apetisants.

      Le soir à 19 heures un petit vapeur vient

    nous prendre et nous conduit un peu plus loin

    sur un mouilleur de mines. Nous voyons que la ville

    de dardanelles est complêtement détruite par le

    feu des bateaux de guerre; devant la maison où

    nous étions un obus de  380 du cuirassé 

    Anglais "Queen Hélisabeth" était explosé. Pendant le trajet

    nous aprenons que le "Mariotte" est coulé, nous sommes

    très heureux de cette nouvelle, c'est brai que nous nous en

     dutions  bien un  peur .  Le matin lorsque nous avons évacués le

    bord un aviateur allié nous survolait danquel but?

    Mardi 27 Juillet

      A Minuit nous faisons route sur Constantinople.

    Nous traversons la mer de Marmara, mais dans quelles

    conditions différentes. L"E.15 sous-marin Anglais y

     vogue . Si il nous aperoit il va nous torpiller, il ne  man .

     

     


  • November 2, 2017 02:10:32 Thomas A. Lingner

     Page gauche 

      en éclats, maintenant le commandant semble content, car

    il suppose que les Turcs vont couler le bateau, il dit (tirez,

    mais tirez donc vous saluez la France)

      Que se passe-t-il reéllement dans la tête du commandant

    I. a dû vouloir détruire le bâtiment et nous avec, car tout a

    coup après un coup de périscope il annonce à ceux qui l'environment:

    Mes amis je vais essayer de vous sauver: Et alors sous

    la fusillade le commandant et le timonier montent ouvrir le capot

      La fusillade cesse aussitôt. Le commandant redescend

    dans le poste de manoeuvre et donne l'ordre de predre les collets

    de sauvetage pour évacuer le bateau, puis de détruire tous les

    instruments indicateurs, les documents secrets et même les

    billets de banque de la caisse du bord furent déchirés.

      Enfin nous voila presque tous rassemblés au poste central

    nous ne pensons encore guère nous sauver, nous pensons toujours

    aux mines, pourquoi ne sautent-elles pas, ça serait si

    vite fini pourtant. Le commandant au milieu des débris de

    toute sorte qui  jouchent  le poste central nous dit "elles  anies  je

    comptais vous conduire à la gloire, mais le destin en a voulu

    autrement etc... L'émotion l'éteint. Nous crions "Vive le commandant.

    Vive la France" et nous commençons à monter

    sur le haut. La nous voyons la situation, la  teue est proche

    Une chaloupe turque est le long du bord sur l'avant, nous descendons

    dedans. En y embarquant beaucoup de nous frappés.

    Nous voila donc prisonniers, situation que nous n'avions jamais

    envisagés.

      Nous voyons au just la position du bateau

    deux mines le  tiement , une repose sur l'arrière du  safrau 

    et celle de l'arrière immobilise l'helice.

     

     

     Page droite 

     Nous croyons être fusillés, man non, nous sommes

    conduits et enferrées dans une maison dépendant  rinafont 

      Nous aprenons que nous sommes dans les dépendance

    du fort de  Tchanak , fort protégeant la petite ville

    de  Qaidanelles  (côte Asie-mineure).

      Nous sommes mouilli, à moitié nus. Toute la

    matinée, visite d'officiers Turcs et Allemands dont

    le général Van der  Gobz . Je suis appelé devant lui

    il veut essayer de ne faire pailer, savoir à quelle

    heure nous avons plongé, quelle profondeur et un tas

    de renseignements, que je me garde bien de lui donner

    à la fin il me dit que nous sommes tous des

    braves, que c'est beau de faire son devoir jusqu'

    au bout et repart avec mes camarades.

      On nous donne un caleçcon d'une largeur

    demesinée et une chemise de tout étoile. j'étais débarqué

    ayant pour tout vêtements une flanelle et

    un pantalon de toile. A midi on nous donne

    une boule de pain, même chose le pain K K, pain

    très lourd, très indigente, avec de la paille dedans.

      Comme souper haricots verts et courges cuits

    à l'huile, rien d'apetisants.

      Le soir à 19 heures un petit vapeur vient

    nous prendre et nous conduit un peu plus loin

     

     


  • November 1, 2017 12:40:40 Thomas A. Lingner

      en éclats, maintenant le commandant semble content, car

    il suppose que les Turcs vont couler le bateau, il dit (tirez,

    mais tirez donc vous saluez la France)

      Que se passe-t-il reéllement dans la tête du commandant

    I. a dû vouloir détruire le bâtiment et nous avec, car tout a

    coup après un coup de périscope il annonce à ceux qui l'environment:

    Mes amis je vais essayer de vous sauver: Et alors sous

    la fusillade le commandant et le timonier montent ouvrir le capot

      La fusillade cesse aussitôt. Le commandant redescend

    dans le poste de manoeuvre et donne l'ordre de predre les collets

    de sauvetage pour évacuer le bateau, puis de détruire tous les

    instruments indicateurs, les documents secrets et même les

    billets de banque de la caisse du bord furent déchirés.

      Enfin nous voila presque tous rassemblés au poste central

    nous ne pensons encore guère nous sauver, nous pensons toujours

    aux mines, pourquoi ne sautent-elles pas, ça serait si

    vite fini pourtant. Le commandant au milieu des débris de

    toute sorte qui  jouchent  le poste central nous dit "elles  anies  je

    comptais vous conduire à la gloire, mais le destin en a voulu

    autrement etc... L'émotion l'éteint. Nous crions "Vive le commandant.

    Vive la France" et nous commençons à monter

    sur le haut. La nous voyons la situation, la  teue est proche

    Une chaloupe turque est le long du bord sur l'avant, nous descendons

    dedans. En y embarquant beaucoup de nous frappés.

    Nous voila donc prisonniers, situation que nous n'avions jamais

    envisagés.

      Nous voyons au just la position du bateau

    deux mines le  tiement , une repose sur l'arrière du  safrau 

    et celle de l'arrière immobilise l'helice.


  • November 1, 2017 12:39:14 Thomas A. Lingner

      en éclats, maintenant le commandant semble content, car

    il suppose que les Turcs vont couler le bateau, il dit (tirez,

    mais tirez donc vous saluez la France)

      Que se passe-t-il reéllement dans la tête du commandant

    I. a dû vouloir détruire le bâtiment et nous avec, car tout a

    coup après un coup de périscope il annonce à ceux qui l'environment:

    Mes amis je vais essayer de vous sauver: Et alors sous

    la fusillade le commandant et le timonier montent ouvrir le capot

      La fusillade cesse aussitôt. Le commandant redescend

    dans le poste de manoeuvre et donne l'ordre de predre les collets

    de sauvetage pour évacuer le bateau, puis de détruire tous les

    instruments indicateurs, les documents secrets et même les

    billets de banque de la caisse du bord furent déchirés.

      Enfin nous voila presque tous rassemblés au poste central

    nous ne pensons encore guère nous sauver, nous pensons toujours

    aux mines, pourquoi ne sautent-elles pas, ça serait si

    vite fini pourtant. Le commandant au milieu des débris de

    toute sorte qui  jouchent  le poste central nous dit "elles  anies  je

    comptais vous conduire à la gloire, mais le destin en a voulu

    autrement etc... L'émotion l'éteint. Nous crions "Vive le commandant.

    Vive la France" et nous commençons à monter

    sur le haut. La nous voyons la situation, la  teue est proche

    Une chaloupe turque est le long du bord sur l'avant, nous descendons

    dedans. En y embarquant beaucoup de nous frappés.

    Nous voila donc prisonniers, situation que nous n'avions jamais

    envisagés.

      Nous voyons au just la position du bateau

    deux mines le ti


  • November 1, 2017 12:28:31 Thomas A. Lingner

      en éclats, maintenant le commandant semble content, car

    il suppose que les Turcs vont couler le bateau, il dit (tirez,

    mais tirez donc vous saluez la France)

      Que se passe-t-il reéllement dans la tête du commandant

    I. a dû vouloir détruire le bâtiment et nous avec, car tout a

    coup après un coup de périscope il annonce à ceux qui l'environment:

    Mes amis je vais essayer de vous sauver: Et alors sous

    la fusillade le commandant et le timonier montent ouvrir le capot

     


Description

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  • 40.02713496673527||26.268367715625004||

    Détroit des Dardanelles

    ||1
Location(s)
  • Story location Détroit des Dardanelles
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ID
7062 / 73108
Source
http://europeana1914-1918.eu/...
Contributor
GAUDIN Stéphane
License
http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/


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