Zeitgenössische Berichte zu Luxemburg im Krieg, item 26

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A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai  ètait 

alors sécrétaires aux affaires étrangères. Je n'ai jamais entendu accuser

ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

     Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

plus grand danger de la Belgique venait de la France et non de l'Allemagn  Allemagne 

Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

ment comme nous le faisons maintenant pour la protéger contre l'Allemagne

nous proc´dons exactement de la même manière. Nous invitâmes les puissanc  puissance 

belligérantes à déclarer qu'elles n'avaient pas l'intervention de violer le

territoire belge. Quelle fut la réponse de Bismark? Il déclara qu'il était

superflu de poser pareille question à la Prusse, étant donné le traité

en vigueur. La France fit une question semblable. Nous reçumes à ce moment

pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

document des plus curieux. Voici le document, adressé, apres cette intervention,

par la municipalé de Bruxelles à la reine Victoria:

     " Le grand et noble peuple aux destinées duquel vous présidez vient,

de donner une nouvelle preuve de ses sentiments de bienvaillance vis-à-vis

de notre pays. La voix de la nation anglaise s'est fait entendre audessus

du fracas des armes. Elle à proclamé les principes de la justice

et du droit. Apres l'attachement inaltérable du peuple belge pour son indépendance,

le sentiment le plus fort qui remplit son coeur est celui d'un

gratitude impérissable envers le peuple de la Grande Bretagne. "

     C'était en 1870. Notez ce qui suivi. Trois ou quatre jours après

l'envoi de ces remerciments, l'armée française était acculée à la frontier

belge. Toutes issues étaient coupées par le cercle desframme des canons

prussiens. Il n'y avait qu'un moyen de fuite. Lequel? La violation de la

neutralité de la Belgique. Qu'a-t-elle fait?

     Les Français, en cette occasion, ont préfére la ruine et l'humination

à la violation de leur parole. L'empereur des Français, des maréchaux fra  français 

çais 100 000 braves Français en armes ont préféré être transporés comme

prisonniers dans les pays de leur ennemi plutôt que de déshonorer leur no  nom ? 

Ce fût la dernière défaite de l'armée française. Eussent-ils vilé la neutralité

belge toute l'histoire de cette guerre eût été changée. Et cependant

c'était l'intérêt de la France de violer le traité. Elle ne l'a pas

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                                                                                                                   2.    

A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai  ètait 

alors sécrétaires aux affaires étrangères. Je n'ai jamais entendu accuser

ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

     Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

plus grand danger de la Belgique venait de la France et non de l'Allemagn  Allemagne 

Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

ment comme nous le faisons maintenant pour la protéger contre l'Allemagne

nous proc´dons exactement de la même manière. Nous invitâmes les puissanc  puissance 

belligérantes à déclarer qu'elles n'avaient pas l'intervention de violer le

territoire belge. Quelle fut la réponse de Bismark? Il déclara qu'il était

superflu de poser pareille question à la Prusse, étant donné le traité

en vigueur. La France fit une question semblable. Nous reçumes à ce moment

pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

document des plus curieux. Voici le document, adressé, apres cette intervention,

par la municipalé de Bruxelles à la reine Victoria:

     " Le grand et noble peuple aux destinées duquel vous présidez vient,

de donner une nouvelle preuve de ses sentiments de bienvaillance vis-à-vis

de notre pays. La voix de la nation anglaise s'est fait entendre audessus

du fracas des armes. Elle à proclamé les principes de la justice

et du droit. Apres l'attachement inaltérable du peuple belge pour son indépendance,

le sentiment le plus fort qui remplit son coeur est celui d'un

gratitude impérissable envers le peuple de la Grande Bretagne. "

     C'était en 1870. Notez ce qui suivi. Trois ou quatre jours après

l'envoi de ces remerciments, l'armée française était acculée à la frontier

belge. Toutes issues étaient coupées par le cercle desframme des canons

prussiens. Il n'y avait qu'un moyen de fuite. Lequel? La violation de la

neutralité de la Belgique. Qu'a-t-elle fait?

     Les Français, en cette occasion, ont préfére la ruine et l'humination

à la violation de leur parole. L'empereur des Français, des maréchaux fra  français 

çais 100 000 braves Français en armes ont préféré être transporés comme

prisonniers dans les pays de leur ennemi plutôt que de déshonorer leur no  nom ? 

Ce fût la dernière défaite de l'armée française. Eussent-ils vilé la neutralité

belge toute l'histoire de cette guerre eût été changée. Et cependant

c'était l'intérêt de la France de violer le traité. Elle ne l'a pas


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  • November 22, 2017 21:31:03 Gabriele Kister-Schuler

                                                                                                                       2.    

    A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

    M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai  ètait 

    alors sécrétaires aux affaires étrangères. Je n'ai jamais entendu accuser

    ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

         Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

    bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

    nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

    plus grand danger de la Belgique venait de la France et non de l'Allemagn  Allemagne 

    Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

    ment comme nous le faisons maintenant pour la protéger contre l'Allemagne

    nous proc´dons exactement de la même manière. Nous invitâmes les puissanc  puissance 

    belligérantes à déclarer qu'elles n'avaient pas l'intervention de violer le

    territoire belge. Quelle fut la réponse de Bismark? Il déclara qu'il était

    superflu de poser pareille question à la Prusse, étant donné le traité

    en vigueur. La France fit une question semblable. Nous reçumes à ce moment

    pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

    document des plus curieux. Voici le document, adressé, apres cette intervention,

    par la municipalé de Bruxelles à la reine Victoria:

         " Le grand et noble peuple aux destinées duquel vous présidez vient,

    de donner une nouvelle preuve de ses sentiments de bienvaillance vis-à-vis

    de notre pays. La voix de la nation anglaise s'est fait entendre audessus

    du fracas des armes. Elle à proclamé les principes de la justice

    et du droit. Apres l'attachement inaltérable du peuple belge pour son indépendance,

    le sentiment le plus fort qui remplit son coeur est celui d'un

    gratitude impérissable envers le peuple de la Grande Bretagne. "

         C'était en 1870. Notez ce qui suivi. Trois ou quatre jours après

    l'envoi de ces remerciments, l'armée française était acculée à la frontier

    belge. Toutes issues étaient coupées par le cercle desframme des canons

    prussiens. Il n'y avait qu'un moyen de fuite. Lequel? La violation de la

    neutralité de la Belgique. Qu'a-t-elle fait?

         Les Français, en cette occasion, ont préfére la ruine et l'humination

    à la violation de leur parole. L'empereur des Français, des maréchaux fra  français 

    çais 100 000 braves Français en armes ont préféré être transporés comme

    prisonniers dans les pays de leur ennemi plutôt que de déshonorer leur no  nom ? 

    Ce fût la dernière défaite de l'armée française. Eussent-ils vilé la neutralité

    belge toute l'histoire de cette guerre eût été changée. Et cependant

    c'était l'intérêt de la France de violer le traité. Elle ne l'a pas


  • November 22, 2017 21:30:42 Gabriele Kister-Schuler

                                                                                                                       2.    

    A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

    M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai  ètait 

    alors sécrétaires aux affaires étrangères. Je n'ai jamais entendu accuser

    ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

         Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

    bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

    nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

    plus grand danger de la Belgique venait de la France et non de l'Allemagn  Allemagne 

    Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

    ment comme nous le faisons maintenant pour la protéger contre l'Allemagne

    nous proc´dons exactement de la même manière. Nous invitâmes les puissanc  puissance 

    belligérantes à déclarer qu'elles n'avaient pas l'intervention de violer le

    territoire belge. Quelle fut la réponse de Bismark? Il déclara qu'il était

    superflu de poser pareille question à la Prusse, étant donné le traité

    en vigueur. La France fit une question semblable. Nous reçumes à ce moment

    pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

    document des plus curieux. Voici le document, adressé, apres cette intervention,

    par la municipalé de Bruxelles à la reine Victoria:

         " Le grand et noble peuple aux destinées duquel vous présidez vient,

    de donner une nouvelle preuve de ses sentiments de bienvaillance vis-à-vis

    de notre pays. La voix de la nation anglaise s'est fait entendre audessus

    du fracas des armes. Elle à proclamé les principes de la justice

    et du droit. Apres l'attachement inaltérable du peuple belge pour son indépendance,

    le sentiment le plus fort qui remplit son coeur est celui d'un

    gratitude impérissable envers le peuple de la Grande Bretagne. "

         C'était en 1870. Notez ce qui suivi. Trois ou quatre jours après

    l'envoi de ces remerciments, l'armée française était acculée à la frontier

    belge. Toutes issues étaient coupées par le cercle desframme des canons

    prussiens. Il n'y avait qu'un moyen de fuite. Lequel? La violation de la

    neutralité de la Belgique. Qu'a-t-elle fait?

         Les Français, en cette occasion, ont préfére la ruine et l'humination

    à la violation de leur parole. L'empereur des Français, des maréchaux fra  français 

    çais 100 000 braves Français en armes ont préféré être transporés comme

    prisonniers dans les pays de leur ennemi plutôt que de déshonorer leur no  nom ? 

    Ce fût la dernière défaite de l'armée française. Eussent-ils vilé la neutralité

    belge toute l'histoire de cette guerre eût été changée. Et cependant

    c'était l'intérêt de la France de violer le traité. Elle ne l'a pas



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  • November 22, 2017 21:26:52 Gabriele Kister-Schuler

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    A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

    M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai  ètait 

    alors sécrétaires aux affaires étrangères. Je n'ai jamais entendu accuser

    ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

         Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

    bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

    nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

    plus grand danger de la Belgique venait de la France et non de l'Allemagn  Allemagne 

    Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

    ment comme nous le faisons maintenant pour la protéger contre l'Allemagne

    nous proc´dons exactement de la même manière. Nous invitâmes les puissanc  puissance 

    belligérantes à déclarer qu'elles n'avaient pas l'intervention de violer le

    territoire belge. Quelle fut la réponse de Bismark? Il déclara qu'il était

    superflu de poser pareille question à la Prusse, étant donné le traité

    en vigueur. La France fit une question semblable. Nous reçumes à ce moment

    pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

    document des plus curieux. Voici le document, adressé, apres cette intervention,

    par la municipalé de Bruxelles à la reine Victoria:

         " Le grand et noble peuple aux destinées duquel vous présidez vient,

    de donner une nouvelle preuve de ses sentiments de bienvaillance vis-à-vis

    de notre pays. La voix de la nation anglaise s'est fait entendre audessus

    du fracas des armes. Elle à proclamé les principes de la justice

    et du droit. Apres l'attachement inaltérable du peuple belge pour son indépendance,

    le sentiment le plus fort qui remplit son coeur est celui d'un

    gratitude impérissable envers le peuple de la Grande Bretagne. "

         C'était en 1870. Notez ce qui suivi. Trois ou quatre jours après

    l'envoi de ces remerciments, l'armée française était acculée à la frontier

    belge. Toutes issues étaient coupées par le cercle desframme des canons

    prussiens. Il n'y avait qu'un moyen de fuite. Lequel? La violation de la

    neutralité de la Belgique. Qu'a-t-elle fait?

         Les Français, en cette occasion, ont préfére la ruine et l'humination

    à la violation de leur parole. L'empereur des Français, des maréchaux fra  français 

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  • November 22, 2017 21:22:36 Gabriele Kister-Schuler

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    A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

    M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai

    alors sécrétaires aux affaires étrangères. Je n'ai jamais entendu accuser

    ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

         Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

    bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

    nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

    plus grand danger de la Belgique venait de la France et non de l'Allemagn

    Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

    ment comme nous le faisons maintenant pour la protéger contre l'Allemagne

    nous proc´dons exactement de la même manière. Nous invitâmes les puissanc

    belligérantes à déclarer qu'elles n'avaient pas l'intervention de violer le

    territoire belge. Quelle fut la réponse de Bismark? Il déclara qu'il était

    superflu de poser pareille question à la Prusse, étant donné le traité

    en vigueur. La France fit une question semblable. Nous reçumes à ce moment

    pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

    document des plus curieux. Voici le document, adressé, apres cette intervention,

    par la municipalé de Bruxelles à la reine Victoria:

         " Le grand et noble peuple aux destinées duquel vous présidez vient,

    de donner une nouvelle preuve de ses sentiments de bienvaillance vis-à-vis

    de notre pays. La voix de la nation anglaise s'est fait entendre audessus

    du fracas des armes. Elle à proclamé les principes de la justice

    et du droit. Apres l'attachement inaltérable du peuple belge pour son indépendance,

    le sentiment le plus fort qui remplit son coeur est celui d'un

    gratitude impérissable envers le peuple de la Grande Bretagne. "

         C'était en 1870. Notez ce qui suivi. Trois ou quatre jours après

    l'envoi de ces remerciments, l'armée française était acculée à la frontier

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  • November 22, 2017 21:21:11 Gabriele Kister-Schuler

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    A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

    M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai

    alors sécrétaires aux affaires étrangères. Je n'ai jamais entendu accuser

    ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

         Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

    bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

    nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

    plus grand danger de la Belgique venait de la France et non de l'Allemagn

    Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

    ment comme nous le faisons maintenant pour la protéger contre l'Allemagne

    nous proc´dons exactement de la même manière. Nous invitâmes les puissanc

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    territoire belge. Quelle fut la réponse de Bismark? Il déclara qu'il était

    superflu de poser pareille question à la Prusse, étant donné le traité

    en vigueur. La France fit une question semblable. Nous reçumes à ce moment

    pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

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    par la municipalé de Bruxelles à la reine Victoria:

         " Le grand et noble peuple aux destinées duquel vous présidez vient,

    de donner une nouvelle preuve de ses sentiments de bienvaillance vis-à-vis

    de notre pays. La voix de la nation anglaise s'est fait entendre audessus

    du fracas des armes. Elle à proclamé les principes de la justice

    et du droit. Apres l'attachement inaltérable du peuple belge pour son indépendance,

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  • November 22, 2017 21:19:25 Gabriele Kister-Schuler

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    A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

    M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai

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    ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

         Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

    bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

    nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

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    Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

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    en vigueur. La France fit une question semblable. Nous reçumes à ce moment

    pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

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  • November 22, 2017 21:17:05 Gabriele Kister-Schuler

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    A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

    M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai

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    ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

         Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

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    Nous sommes internenus pour protéger la Belgique contre la France, exacte

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    nous proc´dons exactement de la même manière. Nous invitâmes les puissanc

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    territoire belge. Quelle fut la réponse de Bismark? Il déclara qu'il était

    superflu de poser pareille question à la Prusse, étant donné le traité

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    pour notre intervention, les remerciments du peuple belge dans un

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  • November 22, 2017 21:11:43 Gabriele Kister-Schuler

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    A. cela nous répondons par notre attitude en 1870. Quelle fût-elle?

    M. Gladstone était alors premier Ministre. Lord Grandville, je crois étai

    alors sécrétaires aux affaires étrangères. Je n'ai jamais entendu accuser

    ni l'un ni l'autre d'être des jingoes.

         Qu'ont-ils fait en 1870. Vioci: nous avons demandé aux puissances

    bellingérantes de respecteur ce traité. Nous l'avons demandé à la France;

    nous l'avons demandé à l'Allemagne. A cette époque, ne l'oubliez pas, le

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  • 49.6567443||6.033516500000019||

    Luxemburg

    ||1
Location(s)
  • Story location Luxemburg
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ID
3055 / 40769
Source
http://europeana1914-1918.eu/...
Contributor
Aloyse Schartz
License
http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/


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