FRAN-PA-145 Correspondance amoureuse, item 3
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J'ai passé de nombreuses heures, allongée sur une chaise longue avec la jolie vue du Loir coulant en bas d'un coteau verdoyant, et des prairies parsemées de boutons d'or. Je rêvais alors agréablement. A qui ? Devinez-vous ?
Mais cette nuit n'a pas été excellente, car après avoir reçu votre dernière lettre j'ai beaucoup rêvé à l'Etat-Major. Je sens, mon Pierre, que cela vous rend bien malheureux et forcément cela me chagrine aussi. Voyez vous, tous vos tourments viennent de votre si beau caractère. Il faut continuer à être fier de vous, même en quittant vos chers compagnons, car vous pouvez l'être. Je comprends trop bien hélas, comme il vous sera dur de les quitter tous, ainsi que vos chefs et c'est à ce moment là que je voudrais être bien près de vous pour vous donner un peu de courage et vous consoler un
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J'ai passé de nombreuses heures, allongée sur une chaise longue avec la jolie vue du Loir coulant en bas d'un coteau verdoyant, et des prairies parsemées de boutons d'or. Je rêvais alors agréablement. A qui ? Devinez-vous ?
Mais cette nuit n'a pas été excellente, car après avoir reçu votre dernière lettre j'ai beaucoup rêvé à l'Etat-Major. Je sens, mon Pierre, que cela vous rend bien malheureux et forcément cela me chagrine aussi. Voyez vous, tous vos tourments viennent de votre si beau caractère. Il faut continuer à être fier de vous, même en quittant vos chers compagnons, car vous pouvez l'être. Je comprends trop bien hélas, comme il vous sera dur de les quitter tous, ainsi que vos chefs et c'est à ce moment là que je voudrais être bien près de vous pour vous donner un peu de courage et vous consoler un
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J'ai passé de nombreuses heures, allongée sur une chaise longue avec la jolie vue du Loir coulant en bas d'un coteau verdoyant, et des prairies parsemées de boutons d'or. Je rêvais alors agréablement. A qui? Devinez vous?
Mais cette nuit n'a pas été excellente, car après avoir reçu votre dernière lettre j'ai beaucoup rêvé à l'Etat-Major. Je sens, mon Pierre, que cela vous rend bien malheureux et forcément cela me chagrine aussi. Voyez vous, tous vos tourments viennent de votre si beau caractère. Il faut continuer à être fier de vous, même en quittant vos chers compagnons, car vous pouvez l'être. Je comprends trop bien hélas, comme il vous sera dur de les quitter tous, ainsi que vos chefs et c'est à ce moment là que je voudrais être bien près de vous pour vous donner un peu de courage et vous consoler un
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J'ai passé de nombreuses heures, allongée sur une chaise longue avec la jolie vue du Loir coulant en bas d'un coteau verdoyantn, et des prairies parsemées de boutons d'or. Je rêvais alors agréablement. A qui? Devinez vous?
Mais cette nuit n'a pas été excellente, car après avoir reçu votre dernière lettre j'ai beaucoup rêvé à l'Etat-Major. Je sens, mon Pierre, que cela vous rend bien malheureux et forcemment cela me chagrine aussi. Voyez vous, tous vos tourments viennent de votre si beau caractère. Il faut continuer à être fier de vous, même en quittant vos chers compagnons, car vous pouvez l'être. Je comprends trop bien hélas, comme il vous sera dur de les quitter tous, ainsi que vos chefs et c'est à ce moment là que je voudrais être bien près de vous pour vous donner un peu de courage et vous consoler un
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J'ai passé de nombreuses heures, allongée sur une chaise longue avec la jolie vue du Loir coulant en bas d'un coteau verdoyantn, et des prairies parsemées de boutons d'or. Je rêvais alors agréablement. A qui? Devinez vous?
Mais cette nuit n'a pas été excellente, car après avoir reçu votre dernière lettre j'ai beaucoup rêvé à l'Etat. Mais je sens, mon Pierre, que cela vous rend bien malheureux et forcemment cela me chagrine aussi. Voyez vous, tous vos tourments viennent de votre si beau caractère. Il faut continuer à être fier de vous, même en quittant vos chers compagnios, car vous pouvez l'être. Je comprends trop bien hélas, comme il vous sera dur de les quitter tous, ainsi que vos chefs et c'est à ce moment là que je voudrais être bien près de vous pour vous doner un peu de courage et vous consoler un
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J'ai passé de nombreuses heures, allongée sur une chaise longue avec la jolie vue du Loir coulant en bas d'un coteau verdoyantn, et des prairies parsemées de boutons d'or. Je rêvais alors agréablement. A qui? Devinez vous?
Mais cette nuit n'a pas été excellente, car après avoir reçu votre dernière lettre j'ai beaucoup rêvé à l'Etat. Mais je sens, mon Pierre, que cela vous rend bien malheureux et forcemment cela me chagrine aussi. Voyez vous, tous vos tourments viennent de votre si beau caractère. Il faut continuer à être
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J'ai passé de nombreuses heures, allongée sur une chaise longue avec la jolie vue du Loir coulant en bas d'un coteau verdoyantn, et des prairies parsemées de boutons d'or.
Description
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- 14262 / 145476
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- Catherine FORT
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