Poème à ma femme
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La petite Maison grise.
Vers: A mon épouse chérie.
Dans cette maison, ou nous étions heureux:
Ou tout vivait, respirait le bonheur,
Où notre amour se lisait dans nos yeux.
Où notre Yvonne jouait et cueillait ses fleurs.
Rappelle toi lorsque nous y étions,
Où j'aimais tant que tu viennes le soir:
Me voir, m'aider à faire mes plantations,
Et Yvonne s'amusait avec son arrosoir,
Ma belle Chérie je pense à ces beaux jours,
Où l'on pouvait s'adorer fiévreusement
En échangeant nos baisers pleins d'amour
Matin et soir s'aimer bien tendrement.
Nous sommes heureux d'avoir petite Yvonne.
C'est notre amour, notre cœur à tous deux
Elle nous aime tant, elle est belle! et si bonne!
Si j'étais là! comme nous serions heureux,
Malheureusement la distance nous sépare
Loin de tes yeux, je suis dans les tranchées
En face! bien près! de ces maudits barbares
En atttendant que nous soyions relevés.
Ils lancent sans cesse des obus, des bricoles
Il faut se méfier aussi d'un coup de main
Moi j'ai confiance Chérie en tes paroles,
Tu veilles sur moi pour me tendre la main
Les jours s'écoulent, ma permission arrive,
Avant la paix, il faut en profiter
10 jours heureux, où l'on pourra revivre,
Oh! bons moments!! il faudra les fêter.
Mon Adorée je termine mon message
Le cœur heureux d'avoir pu te causer,
En ton honneur j'ai composé cette page
Marthe et Vovonne, à vous! tous mes baisers.
Bientôt! nous irons tous les trois a notre Maison Grise!!!! A ma chère Marthe
en Souvenir des tranchées.
1er Octobre 1917.
Lucien
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La petite Maison grise.
Vers: A mon épouse chérie.
Dans cette maison, ou nous étions heureux:
Ou tout vivait, respirait le bonheur,
Où notre amour se lisait dans nos yeux.
Où notre Yvonne jouait et cueillait ses fleurs.
Rappelle toi lorsque nous y étions,
Où j'aimais tant que tu viennes le soir:
Me voir, m'aider à faire mes plantations,
Et Yvonne s;amusait avec son arrosoir,
Ma belle Chérie je pense à ces beaux jours,
Où l'on pouvait s'adorer fiévreusement
En échangeant nos baisers pleins d'amour
Matin et soir s'aimer bien tendrement.
Nous sommes heureux d'avoir petite Yvonne.
C'est notre amour, notre coeur à tous deux
Elle nous aime tant, elle est belle! et si bonne!
Si j'était là! comme nous serions heureux,
Malheureusement la distance nous sépare
Loin de tes yex, je suis dans les tranchées
En face! bien près! de ces maudits barbares
En atttendat que nous soyions relevés.
Ils lancent sans cesse des obus, des bricoles
Il faut se méfier aussi d'un coup de main
Moi j'ai confiance Chérie en tes paroles,
Tu veilles sur moi pour me tendre la main
Les jours s'écoulent, ma permission arrive,
Avant la paix, il faut en profiter
10 jours heureux, où l'on pourra revivre
Oh! bons moments!! il faudra les fêter
Mon Adorée je termine mon message
Le coeur heureux d'avoir pu te causer
En ton honneur j'ai composé cette page
Marthe et Vovonne, à vous! tous mes baisers.
Bientôt! nous irons tous les trois a notre Maison Grise!!!! A ma chère Marthe en Souvenir des tranchées. 1er Octobre 1917.
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La petite Maison grise.
Vers: A mon épouse chérie.
Dans cette maison, ou nous étions heureux:
Ou tout vivait, respirait le bonheur,
Où notre amour se lisait dans nos yeux.
Où notre Yvonne jouait et cueillait ses fleurs.
Rappelle toi lorsque nous y étions
Où j'aimais tant que tu viennes le soir:
Me voir, m'aider a faire mes plantations,
Et Yvonne s'amusait avc son arrosoir.
Ma belle Chérie je pense à ces beaux jours
Où l'on pouvait s'adorer fiévreusement
En échangeant nos baisers pleins d'amour,
Matin et soir s'aimer bien tendrement.
Nous sommes heureux d'avoir petite Yvonne.
C'est notre amour, notre coeur a tous deux,
Elle nous aime tant, elle belle et si bonne!
Si j'étais là! comme nous serions heureux.Malheureusement la distance nous sépare
Loin de tes yeux, je suis dans les tranchées,
En face! bien près! de ces maudits barbares,
En attendat que nous soyions relevés.
Ils lancent sans cesse des obus, des bricoles
Il faut se méfier aussi d'un coup de main
Moi j'ai confiance Chérie en tes paroles,
Tu veilles sur moi, pour me tendre la main.
Les jours s'écoulent, ma permission arrive/
Avant la pais, il faut en profiter
10 jours heureux, ou l'on pourra revivre
Oh! bons moments!! il faudra les fêter.
Mon Adorée je termine mon message
Le coeur heureux d'avoir pû te causer,
En ton honneur j'ai composé cette page
Marthe er Vovonne, à vous! tous mes baisers.
Bientôt! nous irons tous les trois a notre Maison Grise!!!! A ma chère Marthe en Souvenir des tranchées. 1er Octobre 1917.
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La petite Maison grise.
Vers: A mon épouse chérie.
Dans cette maison, ou nous étions heureux:
Ou tout vivait, respirait le bonheur,
Où notre amour se lisait dans nos yeux.
O
Bientôt! nous irons tous les trois a notre Maison Grise!!!! A ma chère Marthe en Souvenir des tranchées. 1er Octobre 1917.
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Bientôt! nous irons tous les trois a notre Maison Grise!!!!
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Bientôt! nous irons tous les trois a notre Mason Grise!!!!
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