"Prise de Vermelles par le 296e et ses frères d'armes"
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Prise de Vermelles par le 296è et ses frères d'armes
En octobre dernier, le 16; je précise
L'ennemi avançait convoitant une prise.
Vermelles était son but, il voulait s'y loger
Notre devoir à nous était de l'arrêter
L'arrêter entendu, la chose était possible
Mais l'ennemi alors était presque invisible
Peu importe, en avant, le commandant en tête
Dit alors; mes enfants, qu'à l'assaut on s'apprête
En ce moment suprême, c'était un vrai malheur
Si nous abandonnions le chemin de l'honneur
Sitôt l'ordre reçu mettons nos baïonettes
Et chacun, sans trembler, vers les boches se jette
A ce commandement, nous partons au plus vite
Pensant les déloger de leur excellent gîte
Mais hélas! Leurs fusils nombreux et bien postés
Arrêtent nos efforts, que nous reprimes après
Le combat, croyez bien, nous fût vraiment pénible
Puisqu'il creuse chez nous des pertes extensibles
Mais la revanche est là, et sonnera demain
Nos morts seront vengés ceci est bien certain
En effet notre espoir ne se fit pas attendre
L'heure semblait propice, nous devions les surprendre
Il suffit avant tout, afin de réussir
De fouiller dans leurs trous, sans qu'ils nous voient venir
Le résultat connu, s'il nous est favorable
Nous marcherons vers eux, afin que nul n'échappe
La décision est prise on va donc explorer
Les refuges des bôches sans crainte du danger
Cette mission vraiment était très périlleuse,
Notre sort dépendait de ses suites heureuses
Un adjudant, trois hommes, tous de vrais combattants
Explorent leurs tranchées, bien volontairement
Le péril est extrême, mais la nuit était sombre
Arrivent aux créneaux, ceux-ci masqués par l'ombre
Rien ne bouge ici, se disent-ils entre eux
Les bôches ont du fuir, que nous sommes heureux.
Nos bons explorateurs, reviennent au capitaine
Qui leur assure ainsi, la prise très prochaine
Oh! combien je suis fier, oh! quel bon avenir
Merci mes bons enfants, nous devons conquérir
Ceci dit, vers minuit tout était en silence
Chacun de nous songeait à cette dure avance
Notre bon commandant, vaillant et plein d'espoir
Nous entraine à tous, vers le village noir
Oh! surprise; oh! bonheur, ils ont quitté Vermelles
Nous avons su dit-il arrêter leur querelle
Grâce à votre courage, à votre dévoûment
Nous les avons chassés, mais alors pour longtemps
De cette vraie victoire enregistrons la date
Pour nous tous, on peut dire, c'est un jour mémorable
C'est le 7 de décembre, sachons le retenir
que notre cher Vermelles à pu nous revenir
Oui les boches ont fui, grâce à notre vaillance
Nous les avons battus, en vrais soldats de France
Nous n'étions pas nombreux, mais notre volonté
Etait de revenir avec de beaux lauriers
Si à nos bataillons des éloges on adresse
Il les mérite bien aucun ne le conteste
Spahis, artilleurs ont aussi mérité
Comme nous fantassins d'être félicités
Pourtant n'oublions pas, celle qui fut en tête
Dans la marche en avant qui valut la conquête
C'est notre 17è, cela sachez le bien
C'est elle qui fouilla le repaire Prussien
Aussi le lendemain notre bon capitaine
Qui jusqu'ici parlait de victoires certaines
Vous avez su dit-il, prouver par votre effort
Qu'il fallait décrocher la victoire ou la mort
Le colonel aussi à son tour nous explique
Que de tels dévouments sont de faits héroiques
Il termine ainsi et nous le dit bien haut
Vermelles, grâce à vous à son nom au drapeau
Fait dans les tranchées de Vermelles, le 26. Décembre 1914.
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Prise de Vermelles par le 296è et ses frères d'armes
En octobre dernier, le 16; je précise
L'ennemi avançait convoitant une prise.
Vermelles était son but, il voulait s'y loger
Notre devoir à nous était de l'arrêter
L'arrêter entendu, la chose était possible
Mais l'ennemi alors était presque invisible
Peu importe, en avant, le commandant en tête
Dit alors; mes enfants, qu'à l'assaut on s'apprête
En ce moment suprême, c'était un vrai malheur
Si nous abandonnions le chemin de l'honneur
Sitôt l'ordre reçu mettons nos baïonettes
Et chacun, sans trembler, vers les boches se jette
A ce commandement, nous partons au plus vite
Pensant les déloger de leur excellent gîte
Mais hélas! Leurs fusils nombreux et bien postés
Arrêtent nos efforts, que nous reprimes après
Le combat, croyez bien, nous fût vraiment pénible
Puisqu'il creuse chez nous des pertes extensibles
Mais la revanche est là, et sonnera demain
Nos morts seront vengés ceci est bien certain
En effet notre espoir ne se fit pas attendre
L'heure semblait propice, nous devions les surprendre
Il suffit avant tout, afin de réussir
De fouiller dans leurs trous, sans qu'ils nous voient venir
Le résultat connu, s'il nous est favorable
Nous marcherons vers eux, afin que nul n'échappe
La décision est prise on va donc explorer
Les refuges des bôches sans crainte du danger
Cette mission vraiment était très périlleuse,
Notre sort dépendait de ses suites heureuses
Un adjudant, trois hommes, tous de vrais combattants
Explorent leurs tranchées, bien volontairement
Le péril est extrême, mais la nuit était sombre
Arrivent aux créneaux, ceux-ci masqués par l'ombre
Rien ne bouge ici, se disent-ils entre eux
Les bôches ont du fuir, que nous sommes heureux.
Nos bons explorateurs, reviennent au capitaine
Qui leur assure ainsi, la prise très prochaine
Oh! combien je suis fier, oh! quel bon avenir
Merci mes bons enfants, nous devons conquérir
Ceci dit, vers minuit tout était en silence
Chacun de nous songeait à cette dure avance
Notre bon commandant, vaillant et plein d'espoir
Nous entraine à tous, vers le village noir
Oh! surprise; oh! bonheur, ils ont quitté Vermelles
Nous avons su dit-il arrêter leur querelle
Grâce à votre courage, à votre dévoûment
Nous les avons chassés, mais alors pour longtemps
De cette vraie victoire enregistrons la date
Pour nous tous, on peut dire, c'est un jour mémorable
C'est le 7 de décembre, sachons le retenir
que notre cher Vermelles à pu nous revenir
Oui les boches ont fui, grâce à notre vaillance
Nous les avons battus, en vrais soldats de France
Nous n'étions pas nombreux, mais notre volonté
Etait de revenir avec de beaux lauriers
Si à nos bataillons des éloges on adresse
Il les mérite bien aucun ne le conteste
Spahis, artilleurs ont aussi mérité
Comme nous fantassins d'être félicités
Pourtant n'oublions pas, celle qui fut en tête
Dans la marche en avant qui valut la conquête
C'est notre 17è, cela sachez le bien
C'est elle qui fouilla le repaire Prussien
Aussi le lendemain notre bon capitaine
Qui jusqu'ici parlait de victoires certaines
Vous avez su dit-il, prouver par votre effort
Qu'il fallait décrocher la victoire ou la mort
Le colonel aussi à son tour nous explique
Que de tels dévouments sont de faits héroiques
Il termine ainsi et nous le dit bien haut
Vermelles, grâce à vous à son nom au drapeau
Fait dans les tranchées de Vermelles, le 26. Décembre 1914.
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Prise de Vermelles par le 296è et ses frères d'armes
En octobre dernier, le 16; je précise
L'ennemi avançait convoitant une prise.
Vermelles était son but, il voulait s'y loger
Notre devoir à nous était de l'arrêter
L'arrêter entendu, la chose était possible
Mais l'ennemi alors était presque invisible
Peu importe, en avant, le commandant en tête
Dit alors; mes enfants, qu'à l'assaut on s'apprête
En ce moment suprême, c'était un vrai malheur
Si nous abandonnions le chemin de l'honneur
Sitôt l'ordre reçu mettons nos baïonettes
Et chacun, sans trembler, vers les boches se jette
A ce commandement, nous partons au plus vite
Pensant les déloger de leur excellent gîte
Mais hélas! Leurs fusils nombreux et bien postés
Arrêtent nos efforts, que nous reprimes après
Le combat, croyez bien, nous fût vraiment pénible
Puisqu'il creuse chez nous des pertes extensibles
Mais la revanche est là, et sonnera demain
Nos morts seront vengés ceci est bien certain
En effet notre espoir ne se fit pas attendre
L'heure semblait propice, nous devions les surprendre
Il suffit avant tout, afin de réussir
De fouiller dans leurs trous, sans qu'ils nous voient venir
Le résultat connu, s'il nous est favorable
Nous marcherons vers eux, afin que nul n'échappe
La décision est prise on va donc explorer
Les refuges des bôches sans crainte du danger
Cette mission vraiment était très périlleuse,
Notre sort dépendait de ses suites heureuses
Un adjudant, trois hommes, tous de vrais combattants
Explorent leurs tranchées, bien volontairement
Le péril est extrême, mais la nuit était sombre
Arrivent aux créneaux, ceux-ci masqués par l'ombre
Rien ne bouge ici, se disent-ils entre eux
Les bôches ont du fuir, que nous sommes heureux.
Nos bons explorateurs, reviennent au capitaine
Qui leur assure ainsi, la prise très prochaine
Oh! combien je suis fier, oh! quel bon avenir
Merci mes bons enfants, nous devons conquérir
Ceci dit, vers minuit tout était en silence
Chacun de nous songeait à cette dure avance
Notre bon commandant, vaillant et plein d'espoir
Nous entraine à tous, vers le village noir
Oh! surprise; oh! bonheur, ils ont quitté Vermelles
Nous avons du dit-il arrêter leur querelle
Grâce à votre courage, à votre dévoûment
Nous les avons chassés, mais alors pour longtemps
De cette vraie victoire enregistrons la date
Pour nous tous, on peut dire, c'est un jour mémorable
C'est le 7 de Décembre, sachons le retenir
que notre cher Vermelles à pu nous revenir
Oui les boches ont fui, grâce à notre vaillance
Nous les avons battus, en vrais soldats de France
Nous n'étions pas nombreux, mais notre volonté
Etait de revenir avec de beaux lauriers
Si à nos bataillons des éloges on adresse
Il les mérite bien aucun ne le conteste
Spahis, artilleurs ont aussi mérité
Comme nous fantassins d'être félicités
Pourtant n'oublions pas, celle qui fut en tête
Dans la marche en avant qui valut la conquête
C'est notre 17è, cela sachez le bien
C'est elle qui fouilla le repaire Prussien
Aussi le lendemain notre bon capitaine
Qui jusqu'ici parlait de victoires certaines
Vous avez su dit-il, prouver par votre effort
Qu'il fallait décrocher la victoire ou la mort
Le colonel aussi à son tour nous explique
Que de tels dévouments sont de faits héroiques
Il termine ainsi et nous le dit bien haut
Vermelles, grâce à vous à son nom au drapeau
Fait dans les tranchées de Vermelles, le 26 Décembre 1914.
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Prise de Vermelles par le 296è et ses frères d'armes
En octobre dernier, le 16; je précise
L'ennemi avançait convoitant une prise.
Vermelles était son but, il voulait s'y loger
Notre devoir à nous était de l'arrêter
L'arrêter entendu, la chose était possible
Mais l'ennemi alors était presque invisible
Peu importe, en avant, le commandant en tête
Dit alors; mes enfants, qu'à l'assaut on s'apprête
En ce moment suprême, c'était un vrai malheur
Si nous abandonnions le chemin de l'honneur
Sitôt l'ordre reçu mettons nos baïonettes
Et chacun, sans trembler, vers les boches se jette
A ce commandement, nous partons au plus vite
Pensant les déloger de leur excellent gîte
Mais hélas! Leurs fusils nombreux et bien postés
Arrêtent nos efforts, que nous reprimes après
Le combat, croyez bien, nous fût vraiment pénible
Puisqu'il creuse chez nous des pertes extensibles
Mais la revanche est là, et sonnera demain
Nos morts seront vengés ceci est bien certain
En effet notre espoir ne se fit pas attendre
L'heure semblait propice, nous devions les surprendre
Il suffit avant tout, afin de réussir
De fouiller dans leurs trous, sans qu'ils nous voient venir
Le résultat connu, s'il nous est favorable
Nous marcherons vers eux, afin que nul n'échappe
La décision est prise on va donc explorer
Les refuges des bôches sans crainte du danger
Cette mission vraiment était très périlleuse,
Notre sort dépendait de ses suites heureuses
Un adjudant, trois hommes, tous de vrais combattants
Explorent leurs tranchées, bien volontairement
Le péril est extrême, mais la nuit était sombre
Arrivent aux créneaux, ceux-ci masqués par l'ombre
Rien ne bouge ici, se disent-ils entre eux
Les bôches ont du fuir, que nous sommes heureux.
Nos bons explorateurs, reviennent au capitaine
Qui leur assure ainsi, la prise très prochaine
Oh! combien je suis fier, oh! quel bon avenir
Merci mes bons enfants, nous devons conquérir
Ceci dit, vers minuit tout était en silence
Chacun de nous songeait à cette dure avance
Notre bon commandant, vaillant et plein d'espoir
Nous entraine à tous, vers le village noir
Oh! surprise; oh! bonheur, ils ont quitté Vermelles
Nous avons du dit-il arrêter leur querelle
Grâce à votre courage, à votre dévoûment
Nous les avons chassés, mais alors pour longtemps
De cette vraie victoire enregistrons la date
Pour nous tous, on peut dire, c'est un jour mémorable
C'est le 7 de Décembre, sachons le retenir
que notre cher Vermelles à pu nous revenir
Oui les boches ont fui, grâce à notre vaillance
Nous les avons battus, en vrais soldats de France
Nous n'étions pas nombreux, mais notre volonté
Etait de revenir avec de beaux lauriers
Si à nos bataillons des éloges on adresse
Il les mérite bien aucun ne le conteste
Spahis, artilleurs ont aussi mérité
Comme nous fantassins d'être félicités
Pourtant n'oublions pas, celle qui fut en tête
Dans la marche en avant qui valut la conquête
C'est notre 17è, cela sachez le bien
C'est elle qui fouilla le repaire Prussien
Aussi le lendemain notre bon capitaine
Qui jusqu'ici parlait de victoires certaines
Vous avez su dit-il, prouver par votre effort
Qu'il fallait décrocher la victoire ou la mort
Le colonel aussi à son tour nous explique
Que de tels dévouments sont de faits héroiques
Il termine ainsi et nous le dit bien haut
Vermelles, grâce à vous à son nom au drapeau
Fait dans les tranchées de Vermelles, le 26 Décembre 1914.
-
Prise de Vermelles par le 296è et ses frères d'armes
En octobre dernier, le 16; je précise
L'ennemi avançait convoitant une prise.
Vermelles était son but, il voulait s'y loger
Notre devoir à nous était de l'arrêter
L'arrêter entendu, la chose était possible
Mais l'ennemi alors était presque invisible
Peu importe, en avant, le commandant en tête
Dit alors; mes enfants, qu'à l'assaut on s'apprête
En ce moment suprême, c'était un vrai malheur
Si nous abandonnions le chemin de l'honneur
Sitôt l'ordre reçu mettons nos baïonettes
Et chacun, sans trembler, vers les boches se jette
A ce commandement, nous partons au plus vite
Pensant les déloger de leur excellent gîte
Mais hélas! Leurs fusils nombreux et bien postés
Arrêtent nos efforts, que nous reprimes après
Le combat, croyez bien, nous fût vraiment pénible
Puisqu'il creuse chez nous des pertes extensibles
Mais la revanche est là, et sonnera demain
Nos morts seront vengés ceci est bien certain
En effet notre espoir ne se fit pas attendre
L'heure semblait propice, nous devions les surprendre
Il suffit avant tout, afin de réussir
De fouiller dans leurs trous, sans qu'ils nous voient venir
Le résultat connu, s'il nous est favorable
Nous marcherons vers eux, afin que nul n'échappe
La décision est prise on va donc explorer
Les refuges des bôches sans crainte du danger
Cette mission vraiment était très périlleuse,
Notre sort dépendait de ses suites heureuses
Un adjudant, trois hommes, tous de vrais combattants
Explorent leurs tranchées, bien volontairement
Le péril est extrême, mais la nuit était sombre
Arrivent aux créneaux, ceux-ci masqués par l'ombre
Rien ne bouge ici, se disent-ils entre eux
Les bôches ont du fuir, que nous sommes heureux.
Nos bons explorateurs, reviennent au capitaine
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Prise de Vermelles par le 296è et ses frères d'armes
En octobre dernier, le 16; je précise
L'ennemi avançait convoitant une prise.
Vermelles était son but, il voulait s'y loger
Notre devoir à nous était de l'arrêter
L'arrêter entendu, la chose était possible
Mais l'ennemi alors était presque invisible
Peu importe, en avant, le commandant en tête
Dit alors; mes enfants, qu'à l'assaut on s'apprête
En ce moment suprême, c'était un vrai malheur
Si nous abandonnions le chemin de l'honneur
Sitôt l'ordre reçu mettons nos baïonettes
Et chacun, sans trembler, vers les boches se jette
A ce commandement, nous partons au plus vite
Pensant les déloger de leur excellent gîte
Mais hélas! Leurs fusils nombreux et bien postés
Arrêtent nos efforts, que nous reprimes après
Le combat, croyez bien, nous fût vraiment pénible
Puisqu'il creuse chez nous des pertes extensibles
Mais la revanche est là, et sonnera demain
Nos morts seront vengés ceci est bien certain
En effet notre espoir ne se fit pas attendre
L'heure semblait propice, nous devions les surprendre
Il suffit avant tout, afin de réussir
De fouiller dans leurs trous, sans qu'ils nous voient venir
Le résultat connu, s'il nous est favorable
Nous marcherons vers eux, afin que nul n'échappe
La décision est prise on va donc explorer
Les refuges des bôches sans crainte du danger
Cette mission vraiment était très périlleuse,
Notre sort dépendait de ses suites heureuses
Un adjudant, trois hommes, tous de vrais combattants
Explorent leurs tranchées, bien volontairement
Le péril est extrême, mais la nuit était sombre
Arrivent aux créneaux, ceux-ci masqués par l'ombre
Rien ne bouge ici, se disent-ils entre eux
Les bôches ont du fuir, que nous sommes heureux.
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Vermelles
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Vermelles (Pas-de-Calais)
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- Contributor
- M. Patrick CASTANIE
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