Boivin, item 6
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
|
J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
|
Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions des gens soigneux.
L'on voit POILUS en robe et corsage | Costumes, accessoires, rentrèrent chez eux
En habit ou en redingue dans le village | De cette "orgie" ne restait nulle trace
|
Salutations, baise mains, c'est la Noce | La fête est terminée, lampions éteints
chacun s'en paye une sacré bosse | Nous regagnons nos chaumières
Ensuite, concert sur la grand place | Il n'est si bonne chose, sans fin.
Tréteaux vite installés, public en face. | Mettons nous à l'aise, allumons nos lumières
|
Tours de chants ou chansons roses ou crues | Je rejoins mon logis solitaire
Succèdent aux refrains du Jour | Veste enlevée, pendue à un clou...par terre
Ritournelles du coin des rues | Je soulage mes jambes des molletières
Où toujours rime avec amour. | Godasses au vent....pieds à l'air.
|
Le grand succès est pour MENAGER | A califourchon, sur mon sommier
Notre titi National, vrai virtuose. | Je vais avant de sommeiller
L'auditoire en est... tout chose | Faire ma petite correspondance
Et Bravos ne lui furent pas, eux..ménagés | Sac pour pupitre, ecrivons d abondance
|
Puis l'on organisa un bal | ---------------------------------------------------------
Il fallut rechercher, non sans mal, | ---------------------------------------------------------
Quelqu'instrument assez normal | ---------------------------------------------------------
L'on ne peut danser au son de cymbales | ---------------------------------------------------------
|
Le vieux piano du concert | S.l.P - Septembre 1916
Avec la chorale des assistants | --------------- Mes Biens Chers Parents
Cela sera bien suffisant |
A la guerre, comme à la guerre ! | Ce jour fut une belle.
|
RASSEMBLEMENT !
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
|
J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
|
Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions des gens soigneux.
L'on voit POILUS en robe et corsage | Costumes, accessoires, rentrèrent chez eux
En habit ou en redingue dans le village | De cette "orgie" ne restait nulle trace
|
Salutations, baise mains, c'est la Noce | La fête est terminée, lampions éteints
chacun s'en paye une sacré bosse | Nous regagnons nos chaumières
Ensuite, concert sur la grand place | Il n'est si bonne chose, sans fin.
Tréteaux vite installés, public en face. | Mettons nous à l'aide, allumons nos lumières
|
Tours de chants ou chansons roses ou crues | Je rejoins mon logis solitaire
Succèdent aux refrains du Jour | Veste enlevée, pendue à un clou...par terre
Ritournelles du coin des rues | Je soulage mes jambes des molletières
Où toujours rime avec amour. | Godasses au vent....pieds à l'air.
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Le grand succès est pour MENAGER | A califourchon, sur mon sommier
Notre titi National, vrai virtuose. | Je vais avant de sommeiller
L'auditoire en est... tout chose | Faire ma petite correspondance
Et Bravos ne lui furent pas, eux..ménagés | Sac pour pupitre, ecrivons d abondance
|
Puis l'on organisa un bal | ---------------------------------------------------------
Il fallut rechercher, non sans mal, | ---------------------------------------------------------
Quelqu'instrument assez normal | ---------------------------------------------------------
L'on ne peut danser au son de cymbales | ---------------------------------------------------------
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Le vieux piano du concert | S.l.P - Septembre 1916
Avec la chorale des assistants | --------------- Mes Biens Chers Parents
Cela sera bien suffisant |
A la guerre, comme à la guerre ! | Ce jour fut une belle.
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RASSEMBLEMENT !
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
|
J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
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Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions des gens soigneux.
L'on voit POILUS en robe et corsage | Costumes, accessoires, rentrèrent chez eux
En habit ou en redingue dans le village | De cette "orgie" ne restait nulle trace
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Salutations, baise mains, c'est la Noce | La fête est terminée, lampions éteints
chacun s'en paye une sacré bosse | Nous regagnons nos chaumières
Ensuite, concert sur la grand place | Il n'est si bonne chose, sans fin.
Tréteaux vite installés, public en face. | Mettons nous à l'aide, allumons nos lumières
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Tours de chants ou chansons roses ou crues | Je rejoins mon logis solitaire
Succèdent aux refrains du Jour | Veste enlevée, pendue à un clou...par terre
Ritournelles du coin des rues | Je soulage mes jambes des molletières
Où toujours rime avec amour. | Godasses au vent....pieds à l'air.
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Le grand succès est pour MENAGER | A califourchon, sur mon sommier
Notre titi National, vrai virtuose. | Je vais avant de sommeiller
L'auditoire en est... tout chose | Faire ma petite correspondance
Et Bravos ne lui furent pas, eux..ménagés | Sac pour pupitre, ecrivons d abondance
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Puis l'on organisa un bal | ---------------------------------------------------------
Il fallut rechercher, non sans mal, | ---------------------------------------------------------
Quelqu'instrument assez normal | ---------------------------------------------------------
L'on ne peut danser au son de cymbales | ---------------------------------------------------------
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
|
J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
|
Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions des gens soigneux.
L'on voit POILUS en robe et corsage | Costumes, accessoires, rentrèrent chez eux
En habit ou en redingue dans le village | De cette "orgie" ne restait nulle trace
|
Salutations, baise mains, c'est la Noce | La fête est terminée, lampions éteints
chacun s'en paye une sacré bosse | Nous regagnons nos chaumières
Ensuite, concert sur la grand place | Il n'est si bonne chose, sans fin.
Tréteaux vite installés, public en face. | Mettons nous à l'aide, allumons nos lumières
|
Tours de chants ou chansons roses ou crues | Je rejoins mon logis solitaire
Succèdent aux refrains du Jour | Veste enlevée, pendue à un clou...par terre
Ritournelles du coin des rues | Je soulage mes jambes des molletières
Où toujours rime avec amour. | Godasses au vent....pieds à l'air.
|
Le grand succès est pour MENAGER | A califourchon, sur mon sommier
Notre titi National, vrai virtuose. | Je vais avant de sommeiller
L'auditoire en est... tout chose | Faire ma petite correspondance
Et Bravos ne lui furent pas, eux..ménagés | Sac pour pupitre, ecrivons d abondance
|
Puis l'on organisa un bal | ---------------------------------------------------------
Il fallut rechercher, non sans mal | ---------------------------------------------------------
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
|
J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
|
Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions des gens soigneux.
L'on voit POILUS en robe et corsage | Costumes, accessoires, rentrèrent chez eux
En habit ou en redingue dans le village | De cette "orgie" ne restait nulle trace
|
Salutations, baise mains, c'est la Noce | La fête est terminée, lampions éteints
chacun s'en paye une sacré bosse | Nous regagnons nos chaumières
Ensuite, concert sur la grand place | Il n'est si bonne chose, sans fin.
Tréteaux vite installés, public en face. | Mettons nous à l'aide, allumons nos lumières
|
Tours de chants ou chansons roses ou crues | Je rejoins mon logis solitaire
Succèdent aux refrains du Jour | Veste enlevée, pendue à un clou...par terre
Ritournelles du coin des rues | Je soulage mes jambes des molletières
Où toujours rime avec amour. | Godasses au vent....pieds à l'air.
|
Le grand succès est pour MENAGER | A califourchon, sur mon sommier
Notre titi National, vrai virtuose. | Je vais avant de sommeiller
L'auditoire en est... tout chose | Faire ma petite correspondance
Et Bravos ne lui furent pas, eux..ménagés | Sac pour pupitre, ecrivons d abondance
|
Puis l'on organisa un bal | ---------------------------------------------------------
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
|
J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
|
Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions des gens soigneux.
L'on voit POILUS en robe et corsage | Costumes, accessoires, rentrèrent chez eux
En habit ou en redingue dans le village | De cette "orgie" ne restait nulle trace
|
Salutations, baise mains, c'est la Noce | La fête est terminée, lampions éteints
chacun s'en paye une sacré bosse | Nous regagnons nos chaumières
Ensuite, concert sur la grand place | Il n'est si bonne chose, sans fin.
Tréteaux vite installés, public en face. | Mettons nous à l'aide, allumons nos lumières
|
Tours de chants ou chansons roses ou crues | Je rejoins mon logis solitaire
Succèdent aux refrains du Jour | Veste enlevée, pendue à un clou...par terre
Ritournelles du coin des rues | Je soulage mes jambes des molletières
Où toujours rime avec amour. | Godasses au vent....pieds à l'air.
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
|
J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
|
Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions des gens soigneux.
L'on voit POILUS en robe et corsage | Costumes, accessoires, rentrèrent chez eux
En habit ou en redingue dans le village | De cette "orgie" ne restait nulle trace
|
Salutations, baise mains, c'est la Noce | La fête est terminée
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
|
J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
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Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions des gens soigneux.
L'on voit POILUS en robe et corsage | Costumes, accessoires, rentrèrent chez eux
En habit ou en redingue dans le village | De cette "orgie" ne restait nulle trace
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La Fête au Village. (suite)
Voici tous les acteurs dans le coup. | C'est ainsi qu'on vît, vers le soir
C'est l'instant de frapper les trois coups | Poilus en froufrous ou habits noirs
Que la fête commence, retroussons nos manches | Tendrement enlacés, tournant en rond
Il semble qu'aujourd'hui c'est Dimanche | Avant le souper et l'appel du clairon
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J'ai dit qu'a SIVRY il n'est plus de Civils | "C'EST PAS D'LA SOUPE. C'EST DU RATA"
En conséquence il NOUS est facile | "QUEL BON DINER, CE SOIR TU F'RAS" (TA-TA)
De mettre, maisons et greniers au pillage | Et puis l'on fit bombance
Mais attention, de la façon la plus sage | L'appétit vient après la danse.
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Chacun s'evertue et trouve à sa guise | Tout fut ensuite remis en place,
Qui parure, qui costume et se déguise | Nous étions
Description
Save description- 49.1446929||5.251142999999956||||1
Le "Mort Homme" au nord de Sivry la Perche (Meuse)
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Story location Le "Mort Homme" au nord de Sivry la Perche (Meuse)
- ID
- 7720 / 243662
- Contributor
- Jean-François VIARD
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