FRBDIC-46 Carnets d'artilleur de Paul Bouchon, item 26
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la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
y a bien là une
de cuirassés. Et des torpilleurs, ces petits bateaux sillonnent
la baie en tous sens. Dans le fond je vois les
maisons blanches de Moudros. Nous jetons l'ancre.
Combien de temps resterons-nous ici ? Je vais
prendre le jus préparé en bas. Attention.
A 1 heure nous entrons dans le port. On va
faire un exercice de débarquement. On nous amène
des chalands très longs a monter car il y a
toute une charpente. Ce travail prend toute
l'après-midi. Le soir nous revoyons les signaux
lumineux entre navires. De nombreuses troupes
sont débarquées. Des Anglais et des Français
en particulier des Zouaves. On aperçoit leurs
tentes blanches bien alignées aux flancs des
collines qui bordent la plage. L'electricité
est éteinte toute la nuit. Nous ne sommes
pas loin des Dardanelles et l'on craint
les aroplanes ennemies. Nous avons du
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recevoir de nouvelles troupes de France car

nous avons vus sur un navire Des artilleurs
du 30eme avec des pieces de 155. De nombreux
paquebots que nous n'avions pas encore vus
sont d'ailleurs en rades. Sur deux d'entre
eux nous apercevons de grandes caisses
contenant des airoplanes. Un navire anglais
transporte un ballon captif tout gonflé. Il
couvre tout l'avant du navire. 20 Avril
Reveil de très bonne heure pour commencer l'exercice
de débarquet. Les chevaux sont hissés puis rangés
par trois dans les cases du chaland. Cette operation
est assez difficile. Les pieces et les caissons sont
placés sur un autre chaland. On place aussi
24 chevaux sur le radeau. un remorqueur
a pétrole
le tout, mais le remorqueurne peut aller jusqu'a la plage la mer
est trop peu profonde. Le

emmène alors une longue corde (un film)
jusqu'a terre et l'on tire dessus pour
faire accoster les chalands. On prend un
bain de pieds assez prolongé pour débarquer.
Le colonel en personne dirige l'operation.
Il parait que nous débarquerons les premiers
en Turquie. En effet si nous partons bientôt
nous sommes jusqu'a present les premiers
artilleurs de campagne arrivés en raide.
Un de mes chevaux de l'EM est mort pendant
la nuit. Le veterinaire est
vertement parle Commandant. Une piece a été débarquée
l'opération a été reussie mais le chaland s'est
enlisé dans le sable et tout l'après-midi
un remorqueur a essayé de le retirer. Peine
perdue. On sera force de le hisser avec un
treuil du bord a l'aide d'un film de
600 mètres. Le Comt est allé chercher des ordres
dans la journée. Je ne sais ce qu'il en resulte.
La mer est devenue assez mauvaise. Brise
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la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
y a bien là une
de cuirassés. Et des torpilleurs, ces petits bateaux sillonnent
la baie en tous sens. Dans le fond je vois les
maisons blanches de Moudros. Nous jetons l'ancre.
Combien de temps resterons-nous ici ? Je vais
prendre le jus préparé en bas. Attention.
A 1 heure nous entrons dans le port. On va
faire un exercice de débarquement. On nous amène
des chalands très longs a monter car il y a
toute une charpente. Ce travail prend toute
l'après-midi. Le soir nous revoyons les signaux
lumineux entre navires. De nombreuses troupes
sont débarquées. Des Anglais et des Français
en particulier des Zouaves. On aperçoit leurs
tentes blanches bien alignées aux flancs des
collines qui bordent la plage. L'electricité
est éteinte toute la nuit. Nous ne sommes
pas loin des Dardanelles et l'on craint
les aroplanes ennemies. Nous avons du
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recevoir de nouvelles troupes de France car

nous avons vus sur un navire Des artilleurs
du 30eme avec des pieces de 155. De nombreux
paquebots que nous n'avions pas encore vus
sont d'ailleurs en rades. Sur deux d'entre
eux nous apercevons de grandes caisses
contenant des airoplanes. Un navire anglais
transporte un ballon captif tout gonflé. Il
couvre tout l'avant du navire. 20 Avril
Reveil de très bonne heure pour commencer l'exercice
de débarquet. Les chevaux sont hissés puis rangés
par trois dans les cases du chaland. Cette operation
est assez difficile. Les pieces et les caissons sont
placés sur un autre chaland. On place aussi
24 chevaux sur le radeau. un remorqueur
a pétrole
le tout, mais le remorqueurne peut aller jusqu'a la plage la mer
est trop peu profonde. Le

emmène alors une longue corde (un film)
jusqu'a terre et l'on tire dessus pour
faire accoster les chalands. On prend un
bain de pieds assez prolongé pour débarquer.
Le colonel en personne dirige l'operation.
Il parait que nous débarquerons les premiers
en Turquie. En effet si nous partons bientôt
nous sommes jusqu'a present les premiers
artilleurs de campagne arrivés en raide.
Un de mes chevaux de l'EM est mort pendant
la nuit. Le veterinaire est
vertement parle Commandant. Une piece a été débarquée
l'opération a été reussie mais le chaland s'est
enlisé dans le sable et tout l'après-midi
un remorqueur a essayé de le retirer.
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la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
y a bien là une
de cuirassés. Et des torpilleurs, ces petits bateaux sillonnent
la baie en tous sens. Dans le fond je vois les
maisons blanches de Moudros. Nous jetons l'ancre.
Combien de temps resterons-nous ici ? Je vais
prendre le jus préparé en bas. Attention.
A 1 heure nous entrons dans le port. On va
faire un exercice de débarquement. On nous amène
des chalands très longs a monter car il y a
toute une charpente. Ce travail prend toute
l'après-midi. Le soir nous revoyons les signaux
lumineux entre navires. De nombreuses troupes
sont débarquées. Des Anglais et des Français
en particulier des Zouaves. On aperçoit leurs
tentes blanches bien alignées aux flancs des
collines qui bordent la plage. L'electricité
est éteinte toute la nuit. Nous ne sommes
pas loin des Dardanelles et l'on craint
les aroplanes ennemies. Nous avons du
49
recevoir de nouvelles troupes de France car

nous avons vus sur un navire Des artilleurs
du 30eme avec des pieces de 155. De nombreux
paquebots que nous n'avions pas encore vus
sont d'ailleurs en rades. Sur deux d'entre
eux nous apercevons de grandes caisses
contenant des airoplanes. Un navire anglais
transporte un ballon captif tout gonflé. Il
couvre tout l'avant du navire. 20 Avril
Reveil de très bonne heure pour commencer l'exercice
de débarquet. Les chevaux sont hissés puis rangés
par trois dans les cases du chaland. Cette operation
est assez difficile. Les pieces et les caissons sont
placés sur un autre chaland. On place aussi
24 chevaux sur le radeau. un remorqueur
a pétrole
le tout, mais le remorqueurne peut aller jusqu'a la plage la mer
est trop peu profonde. Le

emmène alors une longue corde (un film)
jusqu'a terre et l'on tire dessus pour
faire accoster les chalands. On prend un
bain de pieds assez prolongé pour débarquer.
Le colonel en personne dirige l'operation.
Il parait que nous débarquerons les premiers
en Turquie. En effet si nous partons bientôt
nous sommes jusqu'a present les premiers
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la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
y a bien là une
de cuirassés. Et des torpilleurs, ces petits bateaux sillonnent
la baie en tous sens. Dans le fond je vois les
maisons blanches de Moudros. Nous jetons l'ancre.
Combien de temps resterons-nous ici ? Je vais
prendre le jus préparé en bas. Attention.
A 1 heure nous entrons dans le port. On va
faire un exercice de débarquement. On nous amène
des chalands très longs a monter car il y a
toute une charpente. Ce travail prend toute
l'après-midi. Le soir nous revoyons les signaux
lumineux entre navires. De nombreuses troupes
sont débarquées. Des Anglais et des Français
en particulier des Zouaves. On aperçoit leurs
tentes blanches bien alignées aux flancs des
collines qui bordent la plage. L'electricité
est éteinte toute la nuit. Nous ne sommes
pas loin des Dardanelles et l'on craint
les aroplanes ennemies. Nous avons du
49
recevoir de nouvelles troupes de France car

nous avons vus sur un navire Des artilleurs
du 30eme avec des pieces de 155. De nombreux
paquebots que nous n'avions pas encore vus
sont d'ailleurs en rades. Sur deux d'entre
eux nous apercevons de grandes caisses
contenant des airoplanes. Un navire anglais
transporte un ballon captif tout gonflé. Il
couvre tout l'avant du navire. 20 Avril
Reveil de très bonne heure pour commencer l'exercice
de débarquet. Les chevaux sont hissés puis rangés
par trois dans les cases du chaland. Cette operation
est assez difficile. Les pieces et les caissons sont
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la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
y a bien là une
de cuirassés. Et des torpilleurs, ces petits bateaux sillonnent
la baie en tous sens. Dans le fond je vois les
maisons blanches de Moudros. Nous jetons l'ancre.
Combien de temps resterons-nous ici ? Je vais
prendre le jus préparé en bas. Attention.
A 1 heure nous entrons dans le port. On va
faire un exercice de débarquement. On nous amène
des chalands très longs a monter car il y a
toute une charpente. Ce travail prend toute
l'après-midi. Le soir nous revoyons les signaux
lumineux entre navires. De nombreuses troupes
sont débarquées. Des Anglais et des Français
en particulier des Zouaves. On aperçoit leurs
tentes blanches bien alignées aux flancs des
collines qui bordent la plage. L'electricité
est éteinte toute la nuit. Nous ne sommes
pas loin des Dardanelles et l'on craint
les aroplanes ennemies. Nous avons du
49
recevoir de nouvelles troupes de France car

nous avons vus sur un navire Des artilleurs
du 30eme avec des pieces de 155. De nombreux
paquebots que nous n'avions pas encore vus
sont d'ailleurs en rades. Sur deux d'entre
eux nous apercevons de grandes caisses
contenant des airoplanes
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la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
y a bien là une
de cuirassés. Et des torpilleurs, ces petits bateaux sillonnent
la baie en tous sens. Dans le fond je vois les
maisons blanches de Moudros. Nous jetons l'ancre.
Combien de temps resterons-nous ici ? Je vais
prendre le jus préparé en bas. Attention.
A 1 heure nous entrons dans le port. On va
faire un exercice de débarquement. On nous amène
des chalands très longs a monter car il y a
toute une charpente. Ce travail prend toute
l'après-midi. Le soir nous revoyons les signaux
lumineux entre navires. De nombreuses troupes
sont débarquées. Des Anglais et des Français
en particulier des Zouaves. On aperçoit leurs
tentes blanches bien alignées aux flancs des
collines qui bordent la plage. L'electricité
est éteinte toute la nuit. Nous ne sommes
pas loin des Dardanelles et l'on craint
les aroplanes ennemies. Nous avons du
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48
la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
y a bien là une
de cuirassés. Et des torpilleurs, ces petits bateaux sillonnent
la baie en tous sens. Dans le fond je vois les
maisons blanches de Moudros. Nous jetons l'ancre.
Combien de temps resterons-nous ici ? Je vais
prendre le jus préparé en bas. Attention.
A 1 heure nous entrons dans le port. On va
faire un exercice de débarquement. On nous amène
des chalands très longs a monter car il y a
toute une charpente. Ce travail prend toute
l'après-midi. Le soir nous revoyons les signaux
lumineux entre navires. De nombreuses troupes
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48
la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
y a bien là une
de cuirassés. Et des torpilleurs, ces petits bateaux sillonnent
la baie en tous sens. Dans le fond je vois les
maisons blanches de Moudros. Nous jetons l'ancre.
Combien de temps resterons-nous ici ? Je vais
prendre
-
48
la vitesse. Nous marchons encore mais très
doucement. Petit a petit le jour vient. le
soleil affleure l'Horizon. Ah ces beaux levers
ou couchers du soleil en Orient. C'est
admirable. Les teintes les plus diverses viennent
se refléter dans l'eau verte et le ciel d'un
rouge pâle comme de l'or est d'une beaute
. Je vois par le Hublot un petitvoilier, puis un cargo-boat puis un torpilleur.
Serions nous arrivés ? A notre droite une haute
terre, des montagnes. Est-ce la que nous
devons débarquer. Je m'habille en hâte et
je monte sur le pont. Mais quoi ! il me
semble que je suis en pays connu. Ce phare
qui s'elève a l'entrée d'une baie. Je ne me
trompe pas. Nous sommes revenus a l'Ile
Lemnos. Et je vois tout au fond toute une
flotte de paquebots et de transports. Il
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Dardanelles
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- 9589 / 247588
- Contributor
- M. Philippe BOUCHON
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