FRBMTO38 Marie-Lydia Rouanet, item 12
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chemise, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
Voyez qu'il n'en faut pas beaucoup et qu'on
n'a plus rien. Je vais manger ma soupe.
Ce soir s'il y avait du nouveau en
remettant ma lettre je l'ajouterais.
Mes meilleurs baisers à tous, je suis aussi courageux
que les autres et jusqu'ici, à part des coliques
comme tous, pas malade ; ce n'est pas le moment
car des malades on n'en veut pas. et c'est mourant
qu'on vous recconait ou avec de fortes plaies
Encore une embrassade sans oublier
Votre fils Léopold
6h- rien de neuf n[ou]s allons partir à la tranchée
relever d'autres soldats. Là c'est l'imprévu et le
risque... J'écrirai dans 4 ou 5 jours.
au revoir ! L.
page de droite
6 décembre
Depuis longtemps je n'avais rien marqué
sur mon livre. Le temps me manquant je
devais en attendant conserver dans mon coeur
tous les passages gais et tristes que nous
avons traversé à l'hopital
Mon travail ne me permettant pas
d'aller tous les jours auprès de nos chers
blessés j'ai dû faire un sacrifice.
20 9bre 1915
Onze mois se sont écoulés dans la
tristesse et dans le sacrifice ! j'ai
dû suspendre mon journal pour donner
tout mon temps à mes chères occupations !
Que de pauvres êtres privés de leur famille
nous ont demandés de ne pas les abandonner.
Je ne veux tout de même pas laisser
passer inaperçus les mois dont chacun
d'eux renferme un souvenir.
Je remonte à décembre dernier.
Nos troupes luttaient avec acharnement
depuis l'Yser jusqu'à la Meuse.
A l'embouchure de l'Yser les troupes
françaises et belges ont débordé de Nieuport
et par une brillante opération occupé
Lombartyide et St Georges.
Autour d'Ypres nos progrès ont été lents
à cause des obstacles accumulés mais ils
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
Voyez qu'il n'en faut pas beaucoup et qu'on
n'a plus rien. Je vais manger ma soupe.
Ce soir s'il y avait du nouveau en
remettant ma lettre je l'ajouterais.
Mes meilleurs baisers à tous, je suis aussi courageux
que les autres et jusqu'ici, à part des coliques
comme tous, pas malade ; ce n'est pas le moment
car des malades on n'en veut pas. et c'est mourant
qu'on vous recconnait ou avec de fortes plaies
Encore une embrassade sans oublier
Votre fils Léopold
6h- rien de neuf nous allons partir à la tranchée
relever d'autres soldats. Là c'est l'imprévu et le
risque... J'écrirai dans 4 ou 5 jours.
au revoir ! L.
page de droite
6 décembre
Depuis longtemps je n'avais rien marqué
sur mon livre. Le temps me manquant je
devais en attendant conserver dans mon coeur
tous les passages gais et tristes que nous
avons traversé à l'hopital
Mon travail ne me permettant pas
d'aller tous les jours auprès de nos chers
blessés j'ai dû faire un sacrifice.
20 9bre 1915
Onze mois se sont écoulés dans la
tristesse et dans le sacrifice ! j'ai
dû suspendre mon journal pour donner
tout mon temps à mes chères occupations !
Que de pauvres êtres privés de leur famille
nous ont demandés de ne pas les abandonner.
Je ne veux tout de même pas laisser
passer inaperçus les mois dont chacun
d'eux renferme un souvenir.
Je remonte à décembre dernier.
Nos troupes luttaient avec acharnement
depuis l'Yser jusqu'à la Meuse.
A l'embouchure de l'Yser les troupes
françaises et belges ont débordé de Nieuport
et par une brillante opération occupé
Lombartyide et St Georges.
Autour d'Ypres nos progrès ont été lents
à cause des obstacles accumulés mais ils
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chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
Voyez qu'il n'en faut pas beaucoup et qu'on
n'a plus rien. Je vais manger ma soupe.
Ce soir s'il y avait du nouveau en
remettant ma lettre je l'ajouterais.
Mes meilleurs baisers à tous, je suis aussi courageux
que les autres et jusqu'ici, à part des coliques
comme tous, pas malade ; ce n'est pas le moment
car des malades on n'en veut pas. et c'est mourant
qu'on vous recconnait ou avec de fortes plaies
Encore une embrassade sans oublier
Votre fils Léopold
6h- rien de neuf nous allons partir à la tranchée
relever d'autres soldats. Là c'est l'imprévu et le
risque... J'écrirai dans 4 ou 5 jours.
au revoir ! L.
page de droite
6 décembre
Depuis longtemps je n'avais rien marqué
sur mon livre. Le temps me manquant je
devais en attendant conserver dans mon coeur
tous les passages gais et tristes que nous
avons traversé à l'hopital
Mon travail ne me permettant pas
d'aller tous les jours auprès de nos chers
blessés j'ai dû faire un sacrifice.
20 9bre 1915
Onze mois se sont écoulés dans la
tristesse et dans le sacrifice ! j'ai
dû suspendre mon journal pour donner
tout mon temps à mes chères occupations !
Que de pauvres êtres privés de leur famille
nous ont demandés de ne pas les abandonner.
Je ne veux tout de même pas laisser
passer inaperçus les mois dont chacun
d'eux renferme un souvenir.
Je remonte à décembre dernier.
Nos troupes luttaient avec acharnement
depuis l'Yser jusqu'à la Meuse.
A l'embouchure de l'Yser les troupes
françaises et belges ont débordé de Nieuport
et par une brillante opération occupé
Lombartyide et St Georges.
Autour d'Ypres nos progrès ont été lents
à cause des obstacles accumulés mais ils
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
Voyez qu'il n'en faut pas beaucoup et qu'on
n'a plus rien. Je vais manger ma soupe.
Ce soir s'il y avait du nouveau en
remettant ma lettre je l'ajouterais.
Mes meilleurs baisers à tous, je suis aussi courageux
que les autres et jusqu'ici, à part des coliques
comme tous, pas malade ; ce n'est pas le moment
car des malades on n'en veut pas. et c'est mourant
qu'on vous recconnait ou avec de fortes plaies
Encore une embrassade sans oublier
Votre fils Léopold
6h- rien de neuf nous allons partir à la tranchée
relever d'autres soldats. Là c'est l'imprévu et le
risque... J'écrirai dans 4 ou 5 jours.
au revoir ! L.
page de droite
6 décembre
Depuis longtemps je n'avais rien marqué
sur mon livre. Le temps me manquant je
devais en attendant conserver dans mon coeur
tous les passages gais et tristes que nous
avons traversé à l'hopital
Mon travail ne me permettant pas
d'aller tous les jours auprès de nos chers
blessés j'ai dû faire un sacrifice.
20 9bre 1915
Onze mois se sont écoulés dans la
tristesse et dans le sacrifice ! j'ai
dû suspendre mon journal pour donner
tout mon temps à mes chères occupations !
Que de pauvres êtres privés de leur famille
nous ont demandés de ne pas les abandonner.
Je ne veux tout de même pas laisser
passer inaperçus les mois dont chacun
d'eux renferme un souvenir.
Je remonte à décembre dernier.
Nos troupes luttaient avec acharnement
depuis l'Yser jusqu'à la Meuse.
A l'embouchure de l'Yser les troupes
françaises et belges ont débordé de Nieuport
et par une brillante opération occupé
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
Voyez qu'il n'en faut pas beaucoup et qu'on
n'a plus rien. Je vais manger ma soupe.
Ce soir s'il y avait du nouveau en
remettant ma lettre je l'ajouterais.
Mes meilleurs baisers à tous, je suis aussi courageux
que les autres et jusqu'ici, à part des coliques
comme tous, pas malade ; ce n'est pas le moment
car des malades on n'en veut pas. et c'est mourant
qu'on vous recconnait ou avec de fortes plaies
Encore une embrassade sans oublier
Votre fils Léopold
6h- rien de neuf nous allons partir à la tranchée
relever d'autres soldats. Là c'est l'imprévu et le
risque... J'écrirai dans 4 ou 5 jours.
au revoir ! L.
page de droite
6 décembre
Depuis longtemps je n'avais rien marqué
sur mon livre. Le temps me manquant je
devais en attendant conserver dans mon coeur
tous les passages gais et tristes que nous
avons traversé à l'hopital
Mon travail ne me permettant pas
d'aller tous les jours auprès de nos chers
blessés j'ai dû faire un sacrifice.
20 9bre 1918
Onze mois se sont écoulés dans la
tristesse et dans le sacrifice ! j'ai
dû suspendre mon journal pour donner
tout mon temps à mes chères occupations !
Que de pauvres êtres privés de leur famille
nous ont demandés de ne pas les abandonner.
Je ne veux tout de même pas laisser
passer inaperçus les mois dont chacun
d'eux renferme un souvenir.
Je remonte à décembre dernier.
Nos troupes luttaient avec acharnement
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
Voyez qu'il n'en faut pas beaucoup et qu'on
n'a plus rien. Je vais manger ma soupe.
Ce soir s'il y avait du nouveau en
remettant ma lettre je l'ajouterais.
Mes meilleurs baisers à tous, je suis aussi courageux
que les autres et jusqu'ici, à part des coliques
comme tous, pas malade ; ce n'est pas le moment
car des malades on n'en veut pas. et c'est mourant
qu'on vous recconnait ou avec de fortes plaies
Encore une embrassade sans oublier
Votre fils Léopold
6h- rien de neuf nous allons partir à la tranchée
relever d'autres soldats. Là c'est l'imprévu et le
risque... J'écrirai dans 4 ou 5 jours.
au revoir ! L.
page de droite
6 décembre
Depuis longtemps je n'avais rien marqué
sur mon livre. Le temps me manquant je
devais en attendant conserver dans mon coeur
tous les passages gais et tristes que nous
avons traversé à l'hopital
Mon travail ne me permettant pas
d'aller tous les jours auprès de nos chers
blessés j'ai dû faire un sacrifice.
20 9bre 1918
Onze mois se sont écoulés dans la
tristesse et dans le sacrifice ! j'ai
dû suspendre mon journal pour donner
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
Voyez qu'il n'en faut pas beaucoup et qu'on
n'a plus rien. Je vais manger ma soupe.
Ce soir s'il y avait du nouveau en
remettant ma lettre je l'ajouterais.
Mes meilleurs baisers à tous, je suis aussi courageux
que les autres et jusqu'ici, à part des coliques
comme tous, pas malade ; ce n'est pas le moment
car des malades on n'en veut pas. et c'est mourant
qu'on vous recconnait ou avec de fortes plaies
Encore une embrassade sans oublier
Votre fils Léopold
6h- rien de neuf nous allons partir à la tranchée
relever d'autres soldats. Là c'est l'imprévu et le
risque... J'écrirai dans 4 ou 5 jours.
au revoir ! L.
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
Voyez qu'il n'en faut pas beaucoup et qu'on
n'a plus rien. Je vais manger ma soupe.
Ce soir s'il y avait du nouveau en
remettant ma lettre je l'ajouterais.
Mes meilleurs baisers à tous, je suis aussi courageux
que les autres et jusqu'ici, à part des coliques
comme tous, pas malade ; ce n'est pas le moment
car des malades on n'en veut pas. et c'est mourant
qu'on vous recconnait ou avec de fortes plaies
Encore une embrassade sans oublier
Votre fils Léopold
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
puis on en retrouve un de mort ou de blessé et
on le reprend. je pense que par le même courrier
de la boîte, je vais avoir une carte.
Enfin je suis très content de ma boîte
et elle a fait des jaloux rien que par son contenu
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
porte et la paire de chaussettes aux pieds plus la vôtre
tout le reste a disparu car j'ai été obligé
2 ou 3 fois d'abandonner sac et tout le fourbie
-
chemin, mais si c'était trop volumineux, un
tricot et des chaussettes de laine 2 paires si possible.
Je voudrais ne pas avoir besoin à me servir de tout cela.
Mettez quelques feuilles de papier à lettres et cartes,
4 ou 5 cahiers papier à cigarettes et recommandez le paquet.
C'est une dépense mais songez qu'à l'heure
actuelle je n'ai que la chemise et flanelle que je
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Tarn
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- 9083 / 249421
- Contributor
- Julie Ramanich
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