Journal du cavalier Aimé GARCIN du 7ème Régiment de cuirassiers durant la Grande Guerre de 1914 - 1918, item 25
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Massiges
8-15 Octobre
La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est là raide barrant le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfièvres. Plus rien ne nous fait. Au milieu de la nuit nous
nos tranchées aplanées pendant le jour par les obus. Une corvée commandée par Asp. Dugon: j'en suis: nous piochons soudain mon outils s'enfonce dans un dos d’âne que je laisse aussitôt: ma poche s'est enfoncée dans un ventre... et cette odeur qui nous suit partout.
Vers le matin le bombardement diminue, seul le canon révolver claque par instant. Nous voyons arriver tout à coup un chasseur cycliste qui nous annonce la relève. Joie de tous. Nous passons en seconde ligne: Danger toujours aussi grand par le bombardement, mai plus d'avant poste.
Ravitaillement de nuit a Virginie. 7 kilomètres à faire or les boyaux. Soupe et vin dans les sceaux passes au grésil. Quand ils nous arrivent, ils sont plein de terre, et le vin est imbuvable.
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Massiges
8-15 Octobre
La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est là raide barrant le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. . Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfièvres. Plus rien ne nous fait. Au milieu de la nuit nous
nos tranchées aplanées pendant le jour par les obus. Une corvée commandée par Asp. Dugon: j'en suis: nous piochons soudain mon outils s'enfonce dans un dos d’âne que je laisse aussitôt: ma poche s'est enfoncée dans un ventre... et cette odeur qui nous suit partout.
Vers le matin le bombardement diminue, seul le canon révolver claque par instant. Nous voyons arriver tout à coup un chasseur cycliste qui nous annonce la relève. Joie de tous. Nous passons en seconde ligne: Danger toujours aussi grand par le bombardement, mai plus d'avant poste.
Ravitaillement de nuit a Virginie. 7 kilomètres à faire or les boyaux. Soupe et vin dans les sceaux passes au grésil. Quand ils nous arrivent, ils sont plein de terre, et le vin est imbuvable.
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8-15 Octobre
La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est là raide barrant le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. . Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfièvres. Plus rien ne nous fait. Au milieu de la nuit nous
nos tranchées aplanées pendant le jour par les obus. Une corvée commandée par Asp. Dugon: j'en suis: nous piochons soudain mon outils s'enfonce dans un dos d’âne que je laisse aussitôt: ma poche s'est enfoncée dans un ventre... et cette odeur qui nous suit partout.
Vers le matin le bombardement diminue, seul le canon revolver claque par instant. Nous voyons arriver tout à coup un chasseur cycliste qui nous annonce la relève. Joie de tous. Nous passons en seconde ligne: Danger toujours aussi grand par le bombardement, mai plus d'avant poste.
Ravitaillement de nuit a Virginie. 7 kilomètres à faire or les boyaux. Soupe et vin dans les sceaux passes au grésil. Quand ils nous arrivent, ils sont plein de terre, et le vin est imbuvable.
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8-15 Octobre
La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est là raide barrant le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. . Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfièvres. Plus rien ne nous fait. Au milieu de la nuit nous
nos tranchées aplanées pendant le jour par les obus. Une corvée commandée par Asp. Dugon: j'en suis: nous piochons soudain mon outils s'enfonce dans un dos d’âne que je laisse aussitôt: ma poche s'est enfoncée dans un ventre... et cette odeur qui nous suit partout.
Vers le matin le bombardement diminue, seul le canon revolver claque par instant. Nous voyons arriver tout a coup un chasseur cycliste qui nous annonce la releve. Joie de tous. Nous passons en seconde ligne: Danger toujours aussi grand par le bombardement, mai plus d'avant poste.
Ravitaillement de nuit a Virginie. 7 kilometres a faire or les boyaux. Soupe et vin dans les sceaux passes au gresil. Quand ils nous arrivent, ils sont plein de terre, et le vin est inbouvable.
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8-15 Octobre
La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est là raide barrant le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. . Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfièvres. Plus rien ne nous fait. Au milieu de la nuit nous
nos tranchées aplanées pendant le jour par les obus. Une corvée commandée par Asp. Dugon: j'en suis: nous piochons soudain mon outils s'enfonce dans un dos d’âne que je laisse aussitôt: ma poche s'est enfoncée dans un ventre... et cette odeur qui nous suit partout.
Vers le matin le bombardement diminue, seul le canon revolver claque par instant. Nous voyons arriver tout a coup un chasseur cycliste qui nous annonce la releve. Joie de tous. Nous passons en seconde ligne: Danger toujours aussi grand par le bombardement, mai plus d'avant poste.
Ravitaillement de nuit a Virginie. 7 kilometres a faire or les boyaux.
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8-15 Octobre
La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est là raide barrant le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. . Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfièvres. Plus rien ne nous fait. Au milieu de la nuit nous
nos tranchées aplanées pendant le jour par les obus. Une corvée commandée par Asp. Dugon: j'en suis: nous piochons soudain mon outils s'enfonce dans un dos d’âne que je laisse aussitôt: ma poche s'est enfoncée dans un ventre... et cette odeur qui nous suit partout.
Vers le matin
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8-15 Octobre
La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est là raide barrant le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfievres. Plus rien ne nous fait. Au milieu de la nuit nous
nos tranchees aplanees pendant le jour par les obus. Une corvee commandee par Asp. Dugon: j'en suis: nous piochons soudain mon outils s'enfonce
un dos dțane que je laisse aussitot: ma poche s'est enfoncee dans un ventre... et cette odeur qui nous suit partout.
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La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est la raide barrait le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfievres. Plus rien ne nous fait. Au milieu de la nuit nous
nos tranchees aplanees pendant le jour par les obus. Une corvee commandee par Asp. Dugon: j'en suis: nous piochons soudain mon outils s'enfonce
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8-15 Octobre
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nos tranchees aplanees pendant le jour par les obus. Une corvee commandee par Asp. Dugon:
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nos tranchees aplanees pendant
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La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterrés ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leaggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est la raide barrait le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés. Bombardement toujours intense, nos yeux brillent, nous sommes certainement enfievres.
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La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterres ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est la raide barrait le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été rejeté sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés.
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Massiges
8-15 Octobre
La journée se passe des abris qui ont résiste au bombardement ou dans des trous individuels. Dès les tranchées nous sommes obligés de marcher à quatre pattes car les obus les ont sérieusement bouleversées. Nous prenons tous à tour la faction à plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchée par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterres ou au putréfaction. De notre abri nous sommes couches sur des boches. D'un coin une jambe sort la leggins coupée par de pied a cote un ... dos énorme sort de terre. Nous n’y faisons plus attention. Pendant un moment d'accalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchée au soute terres des camarades: soudain je m'arrête: un boche mort est la raide barrait le passage: je ne vais pas plus loin. Je reviens à mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancées des deux côtes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps déchiquète a été repete sur le bord de la tranchée, deux autres morts plusieurs blessés.
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8-15 Octobre
La journee se passe des abris qui ont resiste au bombardement ou dans des trous individuels. Des les tranchees nous sommes obliges de marcher a
pathes car les obus les ont serieusement boulversees. Nous prenons tous a tour la faction a plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchee par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterres ou au putrefaction. De notre abri npus sommes couches sur des boches. D'un coin un jambe sort la leaggins coupee par de pied a cote un ... dos enorme sort de terre. Nous ny faisons plus attention. Pendant un moment d'acalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchee au sout terres des camarades: soudain je m'arrete: un boche mort est la raide barraut le passage: je ne vais pas plus loin. Je revoiens a mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancees des deux cotes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade Gueneau dont le corps dechiquote a ete repete sur le bord de la tranchee, deux otres morts plusieurs blesses.
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La journee se passe des abris qui ont resiste au bombardement ou dans des trous individuels. Des les tranchees nous sommes obliges de marcher a
pathes car les obus les ont serieusement boulversees. Nous prenons tous a tour la faction a plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchee par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterres ou au putrefaction. De notre abri npus sommes couches sur des boches. D'un coin un jambe sort la leaggins coupee par de pied a cote un ... dos enorme sort de terre. Nous ny faisons plus attention. Pendant un moment d'acalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchee au sout terres des camarades: soudain je m'arrete: un boche mort est la raide barraut le passage: je ne vais pas plus loin. Je revoiens a mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte vient de se faire amocher. Quelques grenades lancees des deux cotes. En effet a ma prochaine faction je vois mon camarade
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La journee se passe des abris qui ont resiste au bombardement ou dans des trous individuels. Des les tranchees nous sommes obliges de marcher a
pathes car les obus les ont serieusement boulversees. Nous prenons tous a tour la faction a plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchee par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterres ou au putrefaction. De notre abri npus sommes couches sur des boches. D'un coin un jambe sort la leaggins coupee par de pied a cote un ... dos enorme sort de terre. Nous ny faisons plus attention. Pendant un moment d'acalmie je sors de l'abri et me dirige d'une petite tranchee au sout terres des camarades: soudain je m'arrete: un boche mort est la raide barraut le passage: je ne vais pas plus loin. Je revoiens a mon abri. On m'annonce que la patrouille d'avantposte
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La journee se passe des abris qui ont resiste au bombardement ou dans des trous individuels. Des les tranchees nous sommes obliges de marcher a
pathes car les obus les ont serieusement boulversees. Nous prenons tous a tour la faction a plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchee par le milieu. De l'autre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterres ou au putrefaction. De notre abri npus sommes couches sur des boches. D'un coin un jambe sort la leaggins coupee par de pied a cote un ... dos enorme sort de terre. Nous ny faisons plus attention. Pendant un moment d'acalmie je sors de l'abri
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pathes car les obus les ont serieusement boulversees. Nous prenons tous a tour la faction a plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchee par le milieu. De lțautre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterres ou au putrefaction. De notre abri npus sommes couches sur des boches. Dun coin un jambe sort la leaggins coupee par de pied a cote un ...
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pathes car les obus les ont serieusement boulversees. Nous prenons tous a tour la faction a plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchee par le milieu. De lțautre cote les boches. Des cadavres partout a moitie enterres ou au putrefaction. De notre abri npus sommes couches sur des boches.
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La journee se passe des abris qui ont resiste au bombardement ou dans des trous individuels. Des les tranchees nous sommes obliges de marcher a
pathes car les obus les ont serieusement boulversees. Nous prenons tous a tour la faction a plat ventre aux avant postes constitues par une pile de sac coupant un bout de tranchee par le milieu. De lțautre cote les boches.
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La journee se passe des abris qui ont resiste au bombardement ou dans des trous individuels. Des les tranchees nous sommes obliges de marcher a
pathes car les obus les ont serieusement boulversees. Nous prenons tour a tour la
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La journee se passe
Description
Save description- 45.74272279922854||4.819351169189417||||1
Lyon
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Story location Lyon
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- 8199 / 81793
- Contributor
- BRISSON
October 8, 1915 – October 15, 1915
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