Nos Armes
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connait les calibres employés.
A notre point de vue, il est une
autre classification : ceux qu'on entend
venir et ceux qu'on n'entend pas venir.
Les premiers sont tous les obus
percutants (sauf le 88 et 133 autrichiens)
On percoit même le coup de départ, puis
un sifflement assez bref. C'est le moment
de se jeter à plat ventre ou de se loger
rapidement dans une cagna. Si les 77 ne
sont pas terrible les 105,150 et 210 ont des
effets épouvantables. Mais avec un peu
d'agilité et beaucoup de veine on en
échapee.
Les 88, 133 autrichiens ainsi que les
105 fumants sont beaucoup plus dangereu
Les premiers ont une trajectoire très tendue
les seconds éclatent au moment où on
s'y attend le moins. On dispose environ
d'une demie-seconde pour se mettre a
l'abri - c'est peu !
Quoiqu'il en soit, un bombardement
est une terrible chose surtout quand il
faut rester sur place et ne pas bouger.
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Dans ce cas rien à faire que de se
recroqueviller le plus possible, si l'on a pas
d'abri à l'épreuve. Il ne faut désormais
compter que sur le basard - disent les uns
- sur la providence, disent les autres.
Quelques mètres d'écart du point de chute
de la marmite...on est en bouillie. Il faux
rester passif et philosophe. Ce n'est pas
donné à tout le monde.
Les torpilles.
Elles ont une déplorable
réputation, méritée d'ailleurs. Le poids
d'explosifénormequ'elles renferment
cause en effet des ravages épouvantables.
Leur explosion est d'abord terrible, ce
qui ébranle moralement ; on est très
sérieusement commotionné à plus de
trente mètres du point de chute - De plus
les dégats matériels sont énormes, les
tranchées sont bouleversées, les boyaux comblés.
Nous détestons ce genre d'engins
Cependant il faut constater que le tir
est moins précis que celui de l'artillerie -
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connait les calibres employés.
A notre point de vue, il est une
autre classification : ceux qu'on entend
venir et ceux qu'on n'entend pas venir.
Les premiers sont tous les obus
percutants (sauf le 88 et 133 autrichiens)
On percoit même le coup de départ, puis
un sifflement assez bref. C'est le moment
de se jeter à plat ventre ou de se loger
rapidement dans une cagna. Si les 77 ne
sont pas terrible les 105,150 et 210 ont des
effets épouvantables. Mais avec un peu
d'agilité et beaucoup de veine on en
échapee.
Les 88, 133 autrichiens ainsi que les
105 fumants sont beaucoup plus dangereu
Les premiers ont une trajectoire très tendue
les seconds éclatent au moment où on
s'y attend le moins. On dispose environ
d'une demie-seconde pour se mettre a
l'abri - c'est peu !
Quoiqu'il en soit, un bombardement
est une terrible chose surtout quand il
faut rester sur place et ne pas bouger.
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Dans ce cas rien à faire que de se
recroqueviller le plus possible, si l'on a pas
d'abri à l'épreuve. Il ne faut désormais
compter que sur le basard - disent les uns
- sur la providence, disent les autres.
Quelques mètres d'écart du point de chute
de la marmite...on est en bouillie. Il faux
rester passif et philosophe. Ce n'est pas
donné à tout le monde.
Les torpilles.
Elles ont une déplorable
réputation, méritée d'ailleurs. Le poids
d'explosif énorme qu'elles renferment
cause en effet des ravages épouvantables.
Leur explosion est d'abord terrible, ce
qui ébranle moralement ; on est très
sérieusement commotionné à plus de
trente mètres du point de chute - De plus
les dégats matériels sont énormes, les
tranchées sont bouleversées, les boyaux comblés.
Nous détestons ce genre d'engins
Cependant il faut constater que le tir
est moins précis que celui de l'artillerie
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connait les calibres employés.
A notre point de vue, il est une
autre classification : ceux qu'on entend
venir et ceux qu'on n'entend pas venir.
Les premiers sont tous les obus
percutants (sauf le 88 et 133 autrichiens)
On percoit même le coup de départ, puis
un sifflement assez bref. C'est le moment
de se jeter à plat ventre ou de se loger
rapidement dans une cagna. Si les 77 ne
sont pas terrible les 105,150 et 210 ont des
effets épouvantables. Mais avec un peu
d'agilité et beaucoup de veine on en
échapee.
Les 88, 133 autrichiens ainsi que les
105 fumants sont beaucoup plus dangereu
Les premiers ont une trajectoire très tendue
les seconds éclatent au moment où on
s'y attend le moins. On dispose environ
d'une demie-seconde pour se mettre a
l'abri - c'est peu !
Quoiqu'il en soit, un bombardement
est une terrible chose surtout quand il
faut rester sur place et ne pas bouger.
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Dans ce cas rien à faire que de se
recroqueviller le plus possible, si l'on a pas
d'abri à l'épreuve. Il ne faut désormais
compter que sur le basard - disent les uns
- sur la providence, disent les autres.
Quelques mètres d'écart du point de chute
de la marmite...on est en bouillie. Il faux
rester passif et philosophe. Ce n'est pas
donné à tout le monde.
Les torpilles.
Elles ont une déplorable
réputation, méritée d'ailleurs. Le poids
d'explosif énorme qu'elles renferment
cause en effet des ravages épouvantables.
Leur explosion est d'abord terrible, ce
qui ébranle moralement ; on est très
sérieusement commotionné à plus de
trente mètres du point de chute - De plus
les dégats matériels sont énormes, les
tranchées sont bouleversées, les boyaux comblés.
Nous détestons ce genre d'engins
Cependant il faut constater que le tir
est moins précis que celui de l'artillerie
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- 13455 / 137501
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- Daniel GOUTINES
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