FRB - Recueil de chansons de Léon Frédéric Boulin (Nevers, Caserne Pittié), item 72

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66.... Y à plus moyen de se tenir debout.

Les passants les maisons les rues

Devant moi je vois tout trembler

J'vois l'obélisque qui se flanque par terre

J'aperçois remuer la tour Eiffel.

La frite faisons vite notre prière

Afin d'aller tout droit dans le ciel.

3ème Couplet.

Soudain on entend une trompette

Je dis c'est le jugement dernier

Je me suis tamponné, je pique une tête

Puis je vois une auto se cavaler

La frite me relève moi je pleurais

Lui aussi pleurait l'animal.

Mourir et pas pour la France

Nous qui allaient être caporal.

4ème Couplet.

Puis après de douces paroles.

Dans les rues obscures nous engageons

Mais ne tenant plus sur nos guiboles

Au seuil d'une porte v'la qu'nous tombonts.

Nous nous réveillons au milieu de belles dames

Qu'avaient de belles chemises de nuit

Moi j'dis c'est des anges, ça c'est pas des femmes.

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66.... Y à plus moyen de se tenir debout.

Les passants les maisons les rues

Devant moi je vois tout trembler

J'vois l'obélisque qui se flanque par terre

J'aperçois remuer la tour Eiffel.

La frite faisons vite notre prière

Afin d'aller tout droit dans le ciel.

3ème Couplet.

Soudain on entend une trompette

Je dis c'est le jugement dernier

Je me suis tamponné, je pique une tête

Puis je vois une auto se cavaler

La frite me relève moi je pleurais

Lui aussi pleurait l'animal.

Mourir et pas pour la France

Nous qui allaient être caporal.

4ème Couplet.

Puis après de douces paroles.

Dans les rues obscures nous engageons

Mais ne tenant plus sur nos guiboles

Au seuil d'une porte v'la qu'nous tombonts.

Nous nous réveillons au milieu de belles dames

Qu'avaient de belles chemises de nuit

Moi j'dis c'est des anges, ça c'est pas des femmes.


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  • May 22, 2017 16:01:17 Karl Pineau

    66.... Y à plus moyen de se tenir debout.

    Les passants les maisons les rues

    Devant moi je vois tout trembler

    J'vois l'obélisque qui se flanque par terre

    J'aperçois remuer la tour Eiffel.

    La frite faisons vite notre prière

    Afin d'aller tout droit dans le ciel.

    3ème Couplet.

    Soudain on entend une trompette

    Je dis c'est le jugement dernier

    Je me suis tamponné, je pique une tête

    Puis je vois une auto se cavaler

    La frite me relève moi je pleurais

    Lui aussi pleurait l'animal.

    Mourir et pas pour la France

    Nous qui allaient être caporal.

    4ème Couplet.

    Puis après de douces paroles.

    Dans les rues obscures nous engageons

    Mais ne tenant plus sur nos guiboles

    Au seuil d'une porte v'la qu'nous tombonts.

    Nous nous réveillons au milieu de belles dames

    Qu'avaient de belles chemises de nuit

    Moi j'dis c'est des anges, ça c'est pas des femmes.

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    ID
    13382 / 137209
    Source
    http://europeana1914-1918.eu/...
    Contributor
    Médiathèque municipale Jean Jaurès de Nevers
    License
    http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/


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