Chant « le fiancé de Madeleine »
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Texte rédigé sur 3 feuillets recto. Les différents couplets sont séparés par le dessin d'une frise
Page 1 - située à gauche
Le fiancé de Madeleine
Dans un moulin de la blonde Lorraine
Au fond d'un bois vers la fin de l'été
Le meunier Jean mariait Madeleine
Avec Marcel son heureux fiancé
Ils s'aimaient déjà depuis l'enfance
Un doux sourire illuminait leurs yeux
Et le moulin en ce jour d'espérance
Retentissait de leurs rires joyeux.
Refrain
Le soleil caressait la plaine
Les fauvettes dans les buissons
Les rossignols et les pinsons
Chantaient les plus douces chansons
Pour les noces de Madeleine
Page 2 - milieu -
Quand tout à coup un long cri de fusillade
Vient retentir d'un régiment Français
Tout près de là surpris dans une embuscade
La foudre est grande dans les bois épais
Par la fenêtre une balle ennemie
Entre en sifflant et vient frapper
Le meunier Jean, qui, la face pâlie
Chancelle et tombe soudain (au refrain)
Se saisissant d'un vieux
flingotfusil de chasseMarcel alors pour venger le meunier
Tire sans trêve et couchant sur la place
Chaque ennemi que son œil peut viser
Mais les Français ont plié sous le nombre
Par les Prussiens moulin est cerné
Marcel est pris, le chef d'une voix sombre
Lui dit «C'est bien tu seras
zigouilléfusillé !»Page 3 située à droite
Le lendemain devant le capitaine
Marcel parût le chef lui dit tout bas
Tu dois connaitre les bois et la plaine
Sers nous de guide à ce prix tu vivras
Mais redressant son front plein de vaillance
«Non !, non ! dit-il mon sort m'importe peu
J'aime mieux mourir que de trahir la France
Feu donc ! soldats Madeleine adieu !... »
Refrain
Un éclair sillonne la plaine
Marcel
tombedebout, tombe sans peurEt le sang rouge de son cœur
S'en alla rougir une fleur
Du bouquet blanc de Madeleine.
Fin
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Texte rédigé sur 3 feuillets recto. Les différents couplets sont séparés par le dessin d'une frise
Page 1
Le fiancé de Madeleine
Dans un moulin de la blonde Lorraine
Au fond d'un bois vers la fin de l'été
Le meunier Jean mariait Madeleine
Avec Marcel son heureux fiancé
Ils s'aimaient déjà depuis l'enfance
Un doux sourire illuminait leurs yeux
Et le moulin en ce jour d'espérance
Retentissait de leurs rires joyeux.
Refrain
Le soleil caressait la plaine
Les fauvettes dans les buissons
Les rossignols et les pinsons
Chantaient les plus douces chansons
Pour les noces de Madeleine
Page 2
Quand tout à coup un long cri de fusillade
Vient retentir d'un régiment Français
Tout près de là surpris dans une embuscade
La foudre est grande dans les bois épais
Par la fenêtre une balle ennemie
Entre en sifflant et vient frapper
Le meunier Jean, qui, la face pâlie
Chancelle et tombe soudain (au refrain)
Se saisissant d'un vieux
flingotfusil de chasseMarcel alors pour venger le meunier
Tire sans trêve et couchant sur la place
Chaque ennemi que son œil peut viser
Mais les Français ont plié sous le nombre
Par les Prussiens moulin est cerné
Marcel est pris, le chef d'une voix sombre
Lui dit «C'est bien tu seras
zigouilléfusillé !»Page 3
Le lendemain devant le capitaine
Marcel parût le chef lui dit tout bas
Tu dois connaitre les bois et la plaine
Sers nous de guide à ce prix tu vivras
Mais redressant son front plein de vaillance
«Non !, non ! dit-il mon sort m'importe peu
J'aime mieux mourir que de trahir la France
Feu donc ! soldats Madeleine adieu !... »
Refrain
Un éclair sillonne la plaine
Marcel
tombedebout, tombe sans peurEt le sang rouge de son cœur
S'en alla rougir une fleur
Du bouquet blanc de Madeleine.
Fin
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Texte rédigé sur 3 feuillets recto
Page 1
Le fiancé de Madeleine
Dans un moulin de la blonde Lorraine
Au fond d'un bois vers la fin de l'été
Le meunier Jean mariait Madeleine
Avec Marcel son heureux fiancé
Ils s'aimaient déjà depuis l'enfance
Un doux sourire illuminait leurs yeux
Et le moulin en ce jour d'espérance
Retentissait de leurs rires joyeux.
Refrain
Le soleil caressait la plaine
Les fauvettes dans les buissons
Les rossignols et les pinsons
Chantaient les plus douces chansons
Pour les noces de Madeleine
Quand tout à coup un long cri de fusillade
Vient retentir d'un régiment Français
Tout près de là surpris dans une embuscade
La foudre est grande dans les bois épais
Par la fenêtre une balle ennemie
Entre en sifflant et vient frapper
Le meunier Jean, qui, la face pâlie
Chancelle et tombe soudain (au refrain)
Se saisissant d'un vieux
flingotfusil de chasseMarcel alors pour venger le meunier
Tire sans trêve et couchant sur la place
Chaque ennemi que son œil peut viser
Mais les Français ont plié sous le nombre
Par les Prussiens moulin est cerné
Marcel est pris, le chef d'une voix sombre
Lui dit «C'est bien tu seras
zigouilléfusillé !»Le lendemain devant le capitaine
Marcel parût le chef lui dit tout bas
Tu dois connaitre les bois et la plaine
Sers nous de guide à ce prix tu vivras
Mais redressant son front plein de vaillance
«Non !, non ! dit-il mon sort m'importe peu
J'aime mieux mourir que de trahir la France
Feu donc ! soldats Madeleine adieu !... »
Refrain
Un éclair sillonne la plaine
Marcel
tombedebout, tombe sans peurEt le sang rouge de son cœur
S'en alla rougir une fleur
Du bouquet blanc de Madeleine.
Fin
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Le fiancé de Madeleine
Dans un moulin de la blonde Lorraine
Au fond d'un bois vers la fin de l'été
Le meunier Jean mariait Madeleine
Avec Marcel son heureux fiancé
Ils s'aimaient déjà depuis l'enfance
Un doux sourire illuminait leurs yeux
Et le moulin en ce jour d'espérance
Retentissait de leurs rires joyeux.
Refrain
Le soleil caressait la plaine
Les fauvettes dans les buissons
Les rossignols et les pinsons
Chantaient les plus douces chansons
Pour les noces de Madeleine
Quand tout à coup un long cri de fusillade
Vient retentir d'un régiment Français
Tout près de là surpris dans une embuscade
La foudre est grande dans les bois épais
Par la fenêtre une balle ennemie
Entre en sifflant et vient frapper
Le meunier Jean, qui, la face pâlie
Chancelle et tombe soudain (au refrain)
Se saisissant d'un vieux
flingotfusil de chasseMarcel alors pour venger le meunier
Tire sans trêve et couchant sur la place
Chaque ennemi que son œil peut viser
Mais les Français ont plié sous le nombre
Par les Prussiens moulin est cerné
Marcel est pris, le chef d'une voix sombre
Lui dit «C'est bien tu seras
zigouilléfusillé !»Le lendemain devant le capitaine
Marcel parût le chef lui dit tout bas
Tu dois connaitre les bois et la plaine
Sers nous de guide à ce prix tu vivras
Mais redressant son front plein de vaillance
«Non !, non ! dit-il mon sort m'importe peu
J'aime mieux mourir que de trahir la France
Feu donc ! soldats Madeleine adieu !... »
Refrain
Un éclair sillonne la plaine
Marcel
tombedebout, tombe sans peurEt le sang rouge de son cœur
S'en alla rougir une fleur
Du bouquet blanc de Madeleine.
Fin
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- 11437 / 117056
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- Archives départementales de Saône-et-Loire 1
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